Retranscription des premières minutes du podcast :
- Mettez-vous d'accord, Thierry Guerrier.
- Bonjour à toutes et à tous. Et ravi de vous retrouver sur l'antenne de Sud Radio, alors que notre ami Valéry va prendre quelques heures de repos bien méritées à l'occasion des fêtes, bien sûr.
- Nous retrouverons l'œil de l'expert entre midi et demi et 13h avec deux sujets qui sont dans l'actualité.
- Les prisons françaises, les déclarations de Gérald Darmanin sur cette volonté de faire place nette. C'est sa formule.
- On va y revenir dans un instant avec nos débatteurs et puis on parlera de la Syrie.
- Vous verrez que c'est un sujet qui nous concerne, nous, Français, de très très près en réalité, même si ça nous paraît très très loin.
- Mais d'abord, eh bien, c'est mettez-vous d'accord avec nos débatteurs et ceux avec vous jusqu'à midi et demi.
- Je vous présente tout de suite nos quatre invités ce matin, nos quatre débatteurs.
- Je commence par celui qui est un petit peu éloigné, enfin pas très éloigné de nos studios, depuis Maison Lafitte.
- C'est lui, le maire de Maison Lafitte, Jacques Biard. Bonjour, Jacques.
- Ravi.
- Bonjour. Salut. Fraternité.
- Ravi. Fraternité. Vous mettez à l'antenne en ce moment votre dernier ouvrage, « Bye bye, démocratie ».
- On verra ce que l'homme de droite veut nous dire ce matin, par exemple, sur la question des prisons revues et corrigées par le nouveau ministre de la Justice.
- Avec nous, je dirais, d'obédience gaulliste aussi, Mathieu Hocq, le secrétaire général du think tank de tradition gaulliste le millénaire.
- Bonjour, Mathieu.
- Bonjour.
- Et bienvenue aussi ici sur cette antenne que vous connaissez, Sud Radio. Avec nous, l'ancien député socialiste Édouardo Rian-Sipel. Bonjour, Édouardo.
- Bonjour, Thierry.
- On va revenir avec vous sur l'actualité, bien sûr, et aussi avec un... J'adore vous qualifier d'écolocentriste, Philippe Bouriaqui, et grand sportif devant l'éternel aussi, je me souviens de ça.
- Conseiller régional écologiste indépendant, on peut dire ça comme ça, d'Île-de-France. Alors avec vos coups de cœur et vos coups de gueule, eh bien on va commencer.
- Avec vous, Édouardo Rian-Sipel, parce que vous vouliez revenir sur un sujet qui n'est pas un sujet facile, parce qu'il s'agit de la mort d'un homme, mais pas uniquement, d'un drame vécu par les cheminots à la SNCF il y a quelques jours. Coup de gueule, coup de cœur. Et vous, c'est un coup de gueule.
- Oui. Alors c'est un coup de gueule qui est un coup de tristesse et un coup aussi de prise de conscience. La mort ou le suicide de ce conducteur de la SNCF, Bruno, on en a tous entendu parler, parce que ça a provoqué énormément de retard dans les trains, des situations très difficiles dans les trains.
- D'abord parce qu'une rame a failli... On découvre par un grand dérangement, en quelque sorte. On s'interroge sur ce dont il s'agit, pourquoi autant de trains en retard la nuit de Noël.
- Et c'était un conducteur qui s'est suicidé. Non mais pardon, Édouardo, mais c'est pas uniquement à cause des retards qu'on...
Transcription générée par IA