Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio. Le 10h midi. Mettez-vous d'accord. Valérie Expert.
- Et on est ensemble avec vous sur Sud Radio pour commenter l'actualité. L'actualité qui, encore une fois, reste bien chargée.
- Arnaud de Benedetti, bonjour. Merci d'être avec nous. Vous êtes... Ah ! Sébastien Thoen qui s'en va et qui continue.
- Jean-Michel Apathy, apparemment, il est bourré. Oui, je pense. Ce matin, c'était un peu... Voilà. Ça pourrait être mon coup de gueule.
- Jean-Michel Apathy qui dit « Je ne suis pas Charlie Hebdo ». Je n'ai jamais été Charlie Hebdo. Je suis Charlie, mais je ne suis pas Charlie Hebdo.
- Et il faut foutre la paix aux religions. Moi, j'avoue que... Ça fait longtemps qu'il a bifurqué.
- Ce discours-là, j'ai un peu de mal à l'entendre. Voilà. Donc on est ensemble avec vous, avec Alexandra Spiner, donc enseignante.
- Vous êtes déléguée spéciale en charge du décrochage scolaire à la région Île-de-France.
- Bonjour, Valérie. Bonjour à tous. Bonjour à vous. Arnaud Benedetti, j'ai dit professeur à la Sorbonne, rédacteur en chef de la revue politique et parlementaire. Et vous avez publié « Aux portes du pouvoir, RN, l'inéluctable victoire », avec un point d'interrogation aux éditions Michel Laffont. On va pouvoir reparler évidemment du RN.
- Gilbert Azoulay, directeur général de News Tank Éducation. Bonjour.
- À chaque fois, vous le passez mal. News Tank Éducation. News Tank Éducation.
- C'est comme je veux, hein. Et Andréa Kotarac, vous êtes porte-parole du RN. Donc avec vous sur Sud Radio, on va débattre et commenter l'actualité.
- On va commencer avec vos coups de cœur et vos coups de gueule. Arnaud Benedetti, j'en profite. Je profite du fait que vous soyez là pour parler de Boilem Samsal.
- Et c'est ce que vous voulez évoquer. Enfin je voulais déjà savoir si vous aviez des infos, des nouvelles.
- Les nouvelles, les dernières informations qu'on a, on les a par ces avocats algériens.
- Oui. Boilem Samsal est toujours...
- Il est hospitalisé dans une unité carcérale de l'hôpital Moustapha à Alger. Il est soigné pour une tumeur cancéreuse.
- Je rappelle qu'il est quand même âgé, qu'il a 80 ans. Donc il est malade, qu'évidemment, son arrestation constitue un scandale au regard des principes élémentaires qui doivent nous animer.
- Oui. Alors aujourd'hui, vous savez, il y a plusieurs pistes pour nous. Il y a évidemment l'internationalisation du combat. Ça, c'est le premier point.
- Le fait qu'on ait eu une réaction du président de la République qui, je crois, a trouvé les mots, là, pour le coup, devant la conférence des ambassadeurs, en disant que l'Algérie se déshonorait, c'est le moins qu'on puisse dire, en continuant à retenir pour des motifs totalement imaginaires et fantasmatiques notre compatriote. Parce qu'il faut le rappeler, il est notre compatriote aussi, Boilem Samsal, puisqu'il est franco-algérien.
- Bien sûr.
- Il est français.
- Il est français et algérien. Et donc ce qu'on souhaite, évidemment, c'est une libération rapide. Le problème, c'est qu'on voit bien que la relation entre la France et l'Algérie se tend particulièrement.
- Elle est...
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