Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio, le 10h midi. Mettez-vous d'accord, Valérie Expert.
- Et toujours avec vous pour commenter l'actualité. On a pris un petit peu de temps pour rendre hommage à l'ami Jean-Luc Petit-Renaud, mais c'était nécessaire.
- On commente l'actualité aujourd'hui avec Françoise Laborde. Bonjour, Françoise, journaliste, ancienne membre du CSA.
- Alex Darmont, journaliste politique. On vous retrouve tous les vendredis dans « La vérité en face », face à Éric Tegner.
- Et c'est animé par Patrick Roger également. Votre chaîne de débats politiques, « Les indécis », sur YouTube.
- Benjamin Cochy, chef d'entreprise. Noémie Aïdoua. Bonjour, Benjamin. Journaliste, essayiste. Noémie, vous avez publié « La terreur jusque sous nos draps ».
- On va parler de Sandrine Rousseau, qui appelle à quitter Twitter. François Bayrou et les retraites. La retraite de la réforme.
- J'ai entendu hier François Langlais dire aux 20h de TF1. Je trouvais que c'était une jolie formule.
- Bref, on commence avec vos coups de cœur et vos coups de gueule. On va commencer peut-être avec vous, Noémie.
- Oui, oui. Écoutez, je...
- Ces coups de cœur et ces coups de gueule sont faits pour ouvrir un petit peu aussi...
- Oui. Et en l'occurrence, mettre la lumière. Je voulais mettre la lumière un petit peu sur le sort de trois otages français qui sont détenus illégalement par la République islamique d'Iran, dont on ne parle pas assez, je trouve, dans notre pays.
- Il s'appelle Olivier Grondeau, Cécile Collère et Jacques Paris. Et ce matin, on parle beaucoup d'Olivier Grondeau parce qu'il est otage depuis deux ans, mais il avait caché son identité jusqu'ici dans l'espoir que les négociations en coulisses aboutissent.
- Et aujourd'hui, pour la première fois, il a décidé d'enregistrer un message pour sa famille, un message qui a été diffusé dans la presse, dans laquelle il confie les risques qu'il prend en témoignant. Il se dit victime d'un chantage politique entre la France et l'Iran.
- Il explique que sa santé se dégrade. Il appelle à l'aide. Il se dit à bout de force. Il faut comprendre que la République islamique d'Iran pratique ce qu'on appelle la diplomatie des otages, c'est-à-dire qu'elle arrête arbitrairement des touristes, qu'elle accuse de complots, d'espionnage, etc. contre l'État.
- Et puis, elle s'en sert ensuite comme monnaie d'échange pour faire aboutir ses propres négociations avec les autres États.
- Manifestement, aujourd'hui, la France ne se mobilise pas assez pour ses otages. Ils croupissent en prison depuis déjà plusieurs années.
- On ne parle pas de ces trois otages qui, je le rappelle encore, sont détenus par les républiques islamiques d'Iran.
- Ils sont détenus depuis plusieurs années. Leur santé se dégrade. Il faut tirer la sonnette d'alarme et il faut trouver des solutions pour les aider.
- Ce sont des Français. Ce sont nos compatriotes. Et nous devrions tous nous lever.
- Vous savez, moi, j'ai en tête cette phrase d'Emmanuel Macron au moment des otages qui sont retenus, aussi les franco-israéliens qui sont retenus dans les Jeux du Hamas.
- Il avait dit que la France n'abandonne pas ses...
Transcription générée par IA