Retranscription des premières minutes du podcast :
- « Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Expert. » Et on est ensemble pour commenter l'actualité avec Arnaud Stéphan, fondateur de l'agence La Note de Com.
- Bonjour.
- Alexandra Spiner, enseignante déléguée spéciale en charge du décrochage scolaire à la région Île-de-France.
- Bonjour.
- Bonjour Valérie, bonjour à tous.
- Jean-Baptiste Moreau, porte-parole du think-tank Agriculture Stratégie.
- Et vous avez été ancien agriculteur vous-même et ancien député.
- Et Marie-Ève Malouine, bonjour, journaliste politique.
- On va revenir sur ce qui s'est passé hier au Sénat avec Rachida Dati qui s'est exprimée à propos de l'humoriste Merwan Benlazard qui ne sera plus à l'écran sur France Télévisions.
- Elle répondait à Nathalie Goulet, la sénatrice qui l'interpellait sur cette affaire.
- On va y revenir.
- La grogne des auto-entrepreneurs, on l'a évoqué ici mais le sujet est en train de monter puisque vous savez qu'il devrait...
- Ils devront payer la TVA, donc 20% sur un montant qui était inférieur auparavant.
- Je vais y revenir tout à l'heure.
- 35 000 et maintenant...
- Et pour les autres, ceux qui vendent des objets ou des...
- Il y a la différence entre quand vous vendez quelque chose de physique et quand vous vendez un service.
- On va y revenir.
- Commençons avec vos coups de cœur et vos coups de gueule mais commençons avec vous Arnaud.
- Oui.
- J'ai un...
- J'ai un coup de cœur pour Pierre Urmic, le maire de Bordeaux.
- Une fois n'est pas coutume.
- Exactement.
- Mais parce qu'il n'est jamais trop tard pour découvrir le réel.
- Et Pierre Urmic nous a fait quand même une saison fantastique puisque en novembre, il décidait de réarmer une partie de sa police s'apercevant qu'il y avait un certain nombre de problèmes dans cette ville, aux surprises.
- Et là, on apprend hier que Pierre Urmic va remettre l'éclairage public jusqu'à deux heures et demie du matin dans la ville de Bordeaux pour répondre, je cite, « au sentiment d'insécurité ».
- Donc il faut une lumière...
- Exactement.
- Donc peut-être que ça ne satisfera pas les punkachiens, les toughers et autres joueuses de jumbé en pantalons violets.
- Mais il n'en demeure pas moins qu'il y avait des vrais problèmes d'insécurité, notamment autour du port.
- Il y a un port à Bordeaux avec un certain nombre d'établissements de nuit.
- Et il y avait beaucoup d'agressions.
- Beaucoup de règlements de comptes, souvent liés à la drogue ou à l'alcool.
- Et que ça devenait insupportable.
- Mais on se souviendra quand même que Bordeaux, c'était, il y a encore 15 ans, le rêve.
- Les gens voulaient quitter Paris pour aller habiter à Bordeaux, cette ville de taille humaine, calme, propre.
- Parce que Bordeaux a eu de grands-mères aussi.
- Et qui, en plus, avait la particularité pour les Parisiens d'avoir quasiment le même concepteur.
- Puisque c'était le baron Haussmann qui avait...
- travaillé à la modernisation de Bordeaux.
- Donc, pour les Parisiens, nous n'étions pas complètement en territoire inconnu.
- Et puis, patatras, en quelques années, avec l'arrivée des verts, y compris dans toute la région, dans des villes...
Transcription générée par IA