Retranscription des premières minutes du podcast :
- « Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Expert. » « Et nous continuons le 10h midi avec les débats avec Sophie de Menton. Bonjour Sophie, chef d'entreprise, présidente du mouvement Éthique.
- Jonas Haddad, bonjour. Vous êtes avocat, Mehdi Raïch, analyste politique, brillante analyste politique.
- Et Alex Armand, brillant journaliste politique, brillant avocat, brillant de chaîne d'entreprise, journaliste politique.
- Votre chaîne YouTube « Les Indécis » est une chaîne de débats. Vous avez interviewé même François Hollande au Salon de l'agriculture.
- « C'est pas forcément s'il y a de mieux, si. » « C'était intéressant, c'est quand même dans un président de la République. » « Oui, c'est vrai. » Et tous les vendredis, « La vérité en face » avec Thierry Tegner. C'est « La vérité en face » de Patrick Roger.
- Vos coups de cœur, vos coups de gueule.
- Commençons avec vous, Alex, même si on l'a déjà fait hier, mais c'est pas grave.
- Mais Juliette, elle ne suit pas. C'était dans les médias.
- Je ne sais pas si on a un petit extrait, d'ailleurs. Votre coup de cœur, c'était pour ? Franck Dubosc. Franck Dubosc au César, que j'ai trouvé vraiment formidable, c'est le mot, qui a montré finalement que la culture populaire, c'était ce qui rassemblait peut-être le plus les Français devant leur télévision.
- Franchement, ça a été le seul moment où je me suis amusé.
- Pendant la cérémonie des Césars, où on a l'impression vraiment à chaque fois, chaque année, quand on regarde cette cérémonie, qu'on va remettre les prix de la géopolitique de l'année.
- Il se prenait sérieux à un point.
- Et là, Franck Dubosc est arrivé. Et je trouve qu'il a fait du Franck Dubosc.
- Moi, je suis fan d'abord de cette humoriste, pour commencer.
- Et je trouve qu'avec les années, il vieillit bien.
- Et il l'a montré encore plus sur cette scène, vendredi soir.
- Et j'espère, j'espère que ça...
- Il faut dire ce qu'il a dit, parce que c'était drôle.
- On peut réécouter un petit extrait.
- C'est bon, ben là, je pense à ma femme.
- Qui me regarde et qui aime me rappeler que c'est pas la taille qui compte, de toute façon.
- Elle est amoureuse.
- Je pense bien sûr à mes deux petits garçons qui me regardent ce soir.
- Et ben ce mini César, ce Césario.
- J'ai envie de le dédier à mes garçons.
- Enfin, pas aux deux, à mon préféré.
- Moi, je dis souvent que je comprends pourquoi les comédies sont moins récompensées aux Césars.
- Mais je voudrais juste rappeler à l'Académie que j'ai fait des comédies qui n'étaient pas drôles.
- Voilà, mais tout était très drôle.
- Tout était réussi, tout était bien écrit, tout était bien joué.
- Même quand il s'adresse à Julia Roberts.
- Je trouve que c'est formidable.
- Oui, d'ailleurs, elle éclate de rire.
- Voilà, mais c'est vraiment très français, en fait.
- Et j'espère que ça va donner des vidéos à l'Académie des Césars pour essayer, enfin, enfin, de confier la cérémonie à un vrai homme de scène et à un vrai mec drôle.
- C'était Cédric Clapiche, là, qui a mis en scène la cérémonie.
- Mais on a l'impression qu'ils vont sauver le monde, les artistes, quand vous les entendez.
- Là, c'est du spectacle vivant, quasiment, les Césars.
- Donc, en réalité, ce qu'on a envie de voir, c'est du spectacle vivant.
- On a envie de rire, de passer un bon moment.
- Et c'est jamais le cas, chaque année.
- Oui, d'avoir des acteurs, pardon, pas très connus.
- Alors, peut-être qu'ils sont talentueux.
- C'est pas parce qu'on est connu qu'on est talentueux.
- Et puis, la sortie politique à laquelle on a droit à chaque fois.
- C'est fatigant.
- Oui, c'est vrai que Franck Dubosc a sauvé une cérémonie de ce que Philippe Muray a appelé l'entre-soi ricanant.
- Oui.
- Et souvent, ils se retrouvent entre eux.
- Et d'ailleurs, j'ai une petite déception, plutôt.
- C'est que le comte de Monte-Cristo n'a eu aucune distinction.
- Et Pierre Ninet, très élégant, a expliqué qu'il avait une pensée pour toutes les équipes.
- Alors que, quand même, ça a fait un carton absolu.
- Je n'ai pas tellement aimé.
- Oui.
- Oui, mais on renoue, je trouve, avec des films.
- D'abord, un qui n'essaie pas de...
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