Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio. Le 10h midi. Mettez-vous d'accord. Valérie Expert.
- Avec vous sur Sud Radio. Et je commence en colère. Voilà. Ça va être une émission animée. Jacques Miard, vous êtes avec nous aujourd'hui, maire de Maison-Lafitte. « Bye bye démocratie » paru chez Lafondresse. Toujours là.
- Alors, madame Valérie, j'ai vu que vous voulez maintenant vous convertir au Japon.
- Oui, absolument. Vous devriez relire Raspail à ce propos.
- Non, non. C'est pas moi qui veux me convertir au Japon. C'était l'excellent documentaire de Laure Boulot qui est allée là-bas et qu'on vous recommande sur MyCanal. Elle est allée à la rencontre de femmes pionnières qui font des métiers d'hommes, réservés aux hommes jusqu'à présent. Mais je ne suis jamais allée au Japon, cher Jacques. Benjamin Cauchy, cher...
- Ça mérite d'y aller. Oui, oui. Bah j'aimerais bien. Il faudrait juste...
- Faut pas y rester. Faudrait... Faut nous envoyer les billets, Jacques.
- Et puis il faudrait avoir un peu de temps, parce qu'une semaine, c'est un peu court. Donc il faut un petit peu de temps pour y rester.
- Benjamin Cauchy, chef d'entreprise.
- Andréa Kotarak, porte-parole du RN. Et nous attendons Gilbert Azoulay, directeur général de Newstank Éducation.
- Évidemment, nous allons revenir sur l'intervention du président de la République hier soir. Costume sombre, cravate sombre.
- L'heure est grave. Vous allez me dire ce que vous en avez pensé. La Russie et Poutine sont la principale menace pour la France.
- C'est ce qu'il a déclaré. On va revenir évidemment sur les moyens de financer cette défense qu'Emmanuel Macron souhaite développer. Ça vous fait sourire, Jacques Myard. Bref, beaucoup de sujets. Ah bah oui ! Beaucoup de sujets avec vous. Alors... Non, mais je vais... Je tombe sur ça, ce matin. La Française des Jeux change de nom et se rebadise FDJ United.
- Alors ça va vous parler, Jacques Myard, vous qui avez écrit... C'est un scandale. C'est encore ma copine Stéphane Palaise qui fait des siennes.
- C'est à se demander si véritablement le globiche est devenu la langue nationale. Voilà. C'est inadmissible. Et je ne peux que le dénoncer fortement.
- Non mais on a une journée de la francophonie où on nous emmerde. Il n'y a pas d'autres mots tous les ans. Il faut parler de la francophonie, la langue française, machin.
- Mais on en a ras-le-bol de ces newsrooms, de ces PowerPoints et autres... Enfin et là, la FDJ qui se... Franchement, ils sont juste à côté de chez nous.
- FDJ United. Non mais on marche sur la tête. Moi, c'est vous qui m'avez donné l'information. Ça m'a fait rire tellement c'est pathétique, pitoyable.
- Bah... Et moi, j'ai envie de dire... Effectivement, c'est le globiche. C'est...
- Ça fait plus crédible, j'imagine, de dire United, ce qui est en fait purement pathétique, ce qui ne va rien changer à la FDJ.
- Et je pense, moi, à l'heure actuelle, à ceux qui défendent le mieux la francophonie. Je pense aux Suisses-Romands.
- Les Québécois. Je pense aux Québécois qui défendent, parce qu'eux sont menacés, entre guillemets, linguistiquement par des voisins, défendent du mieux que possible la langue française.
- Je pense qu'il faut leur rendre hommage parce qu'objectivement, on n'est pas un exemple pour eux.
- Alors en fait, le groupe français, donc...
- FDJ, qui a racheté la maison-mère de Unibet, veut incarner son envergure européenne. Donc ça veut bien dire que...
- Et alors ? J'allais dire la même chose. Et alors ? Et alors ? Je suis d'accord avec vous.
- À un moment où on a Boilem Sansal, qui est édite en français, et nous, on se vautre dans le globiche. C'est inadmissible.
- Bah oui. Non, mais c'est FDJ, United. Donc voilà. Ils sont en train de changer le logo sur la façade.
- Autre absurdité...
- Avec vous, Benjamin Cochy, il y en a beaucoup, oui.
- Il y en a plein. Alors petit meeting-pot ce matin. Le premier qui m'a surpris au réveil, c'était cette idée d'une nouvelle taxe.
- C'est même pas une idée. C'est une nouvelle taxe qui a été instaurée depuis le 1er janvier 2025 pour participer au financement du tri sélectif.
- Eh bien c'est une taxe sur les emballages pour les boulangers, les charcutiers, les bouchers et les fromagers.
- Donc c'est quand...
Transcription générée par IA