Retranscription des premières minutes du podcast :
- SUDRADIO, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Expert.
- On a un petit peu débordé aujourd'hui, première partie un petit peu courte, mais je vous présente les débatteurs d'aujourd'hui, Hassan Hamou, fondateur du collectif Marseillais Trop Jeune Pour Mourir, bonjour, et vous êtes porte-parole des écologistes.
- Marie-Ève Malouine, journaliste politique, bonjour, éditorialiste, Virginie Legay, journaliste éditorialiste, je fais un mot, éditorialistique.
- Journaliste éditorialiste.
- Éditorialiste politique à France Info TV, Frédéric Fougera, vous êtes communicant, président de Tenkan Paris, et vous avez publié Anthologie de la Com, il y en a un qui aurait besoin de vous pour la Com, je peux vous dire, on en parlait avec Bertrand Burgala tout à l'heure.
- J'ai écouté la première partie, effectivement, il y a du boulot.
- Voilà, il y a du boulot, aux éditions Bréal, Studi Rama, on va revenir évidemment sur ce qui se passe en Ukraine, vers un accord de paix, on attend maintenant la réponse de la Russie, le RN en tout cas ne votera pas, la résolution sur l'Ukraine, et puis la question des avoirs russes se pose, évidemment.
- On a plein de sujets, peut-être un petit rectificatif hier, un correctif, un mea culpa, nous avons, enfin j'ai débattu, mis en sujet, cette information qui avait été donnée par une avocate de victime sur CNews, à savoir que Salah Abdeslam allait devenir père, ça a été démenti par ses avocats, ce matin Gérald Darmanin a expliqué qu'il y avait des parloirs qui avaient été refusés par son prédécesseur, des parloirs familiaux, aujourd'hui il a un parloir, mais qui a priori ne permet pas qu'il se passe des choses un peu plus développées, donc je voulais m'excuser pour cette fausse information, comme quoi il faut toujours vérifier, je ne sais pas, Marie-Hélène Malouine, et c'est vrai que j'aurais dû être vigilante parce que l'avocate avait employé le conditionnel, donc tout le monde s'est jeté sur cette info parce que c'était vraiment très choquant, ou en tout cas interpellant, mais à coups de pas, et puis...
- Je peux vous dire un mot Valérie ? Vous citez l'avocate dans ces cas-là, non ? J'ai juste envie de vous dire, bravo, on peut se tromper, on peut faire une erreur, et est-ce que c'est compliqué de dire je me suis trompé ? Ben non, c'est juste honnête et simple, et beaucoup devraient s'en inspirer, on a le droit de se tromper, on a le droit à l'erreur, mais il faut être juste capable de le reconnaître, c'est pas bien méchant.
- Et puis de la com, là, c'est France Télévisions qui fait le point, et là c'est de la com, en toute transparence, des cartes corporettes.
- Et c'est vrai qu'on a aussi débattu de ce sujet, sans connaître le fond totalement du dossier, c'est une forme de deuxième méa culpa, même si je ne retire pas ce que je disais, à savoir qu'il faudrait un audit à France Télévisions.
- Il y a eu des abus, donc on a dit qu'il y avait, tout le monde profitait de 4000 euros par mois, etc., de notes de frais.
- Il y a 6 personnes, en fait, qui sont 6 salariés, qui font payer le prix à l'ensemble de ces 2000 cartes.
- Les règles vont être changées, mais ce n'est pas un abus vertigineux, comme ça avait été dit.
- Je ne sais pas si vous aviez suivi cette affaire aussi, Marie-Emmanuelle.
- Oui, moi j'avais vu le chiffre, ayant travaillé dans le service public, ayant dirigé une chaîne parlementaire, donc avec des fonds publics.
- Ça m'étonnait, puisque normalement tout cela est justifié.
- On ne peut pas utiliser la carte comme on veut, c'est pour des frais de représentation, une invitation au restaurant.
- Normalement on met qui on a invité, même si légalement on n'y est pas tenu, puisqu'il y a le secret des sources.
- Et généralement tout ça, c'est vérifié et à savoir frais de représentation, est-ce que c'est les restaurants, est-ce que c'est les hôtels, est-ce que c'est les avions, parce qu'il y a des cartes aussi pour faciliter la réservation.
- Donc normalement c'est vérifié et on se rend compte quand il y a des abus.
- Après, qu'on puisse faire le...
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