Retranscription des premières minutes :
- « Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord. » Allez, nous sommes ensemble jusqu'à midi pour ce « Mettez-vous d'accord ».
- Beaucoup de débats ce matin avec nos quatre invités sur Sud Radio.
- Je profite pour renouveler toute mon amitié, mon soutien et un gros bisou à Valérie Expert qui, vous le savez, a une extinction de voix et va nous revenir.
- C'est la première fois de sa vie.
- Oui, mais ça ne pardonne pas l'extinction de voix.
- C'est quelque chose d'autre.
- Et à la télé, à la radio, c'est très dur.
- Et puis elle va nous revenir en pleine forme.
- Valérie, je t'embrasse au passage.
- J'en profite.
- Moi aussi.
- Voilà, c'est chose faite.
- Allez, nos quatre débatteurs ce matin.
- Sophie de Monton, vous êtes, je rappelle, chef d'entreprise.
- Bonjour Sophie.
- Bonjour François.
- Et président du mouvement Éthique.
- Avec nous, Andréa Cotarac, le porte-parole du rassemblement national.
- Nous sommes avec vous.
- Bonjour.
- Régis de Castelnau, vous êtes avocat.
- Vous avez votre blog, Vu du droit.
- Bonjour Régis.
- Bonjour.
- Bonjour à tous.
- Donc, auteur d'une justice politique publiée par L'Artilleur et membre de la rédaction de Front Populaire.
- Et avec nous, Jérôme Dubu.
- Bonjour.
- Vous avez de multiples casquettes.
- Je citerai que vous êtes membre du pôle ID d'Horizon.
- Ça vous convient ? Parfait.
- Allez, ça vous va.
- Les thèmes, ce matin, avant les coups de cœur et les coups de gueule, je rappelle, nous allons parler de ce jeune de 17 ans tué au couteau dans l'Essonne.
- Faut-il durcir la justice des mineurs ? L'antisémitisme, toujours, avec la marche blanche prévue à Orléans ce soir.
- Est-il trop tard pour réagir ? Le fait religieux en entreprise, il y a une forte percée chez les 18-24 ans.
- Vous allez le voir, c'est assez étonnant.
- Et puis, nous évoquerons ce qu'il a fait.
- Et puis, nous évoquerons si nous en avons le temps, bien sûr, parce que ça fait beaucoup de débats, tout ça.
- Le préavis de grève à la SNCF, ça vous amuse, hein ? Pour le mois de juin, préférence pour les vacances, tant qu'à faire.
- Faut-il interdire ? Alors, vous savez, la question, c'est faut-il interdire ? La réponse, évidemment, on la connaît.
- Les grèves pendant les vacances scolaires, mais quand même, ça fait débat, surtout pour les Français qui en ont plein le dos et qui ont envie de partir en congé aux bonnes dates.
- Allez, tout d'abord, on va peut-être passer à nos coups de gueule et nos coups de gueule.
- Allez, je vais commencer par vous, Régis, vous ne m'en voulez pas, Sophie de Menton ? Non, je suis une femme, c'est normal, en dernier.
- Alors, non.
- Ça commence bien.
- Allez, Sophie de Menton.
- Elle est insupportable.
- Allez, c'est bon.
- Ça y est.
- Allez, on va céder.
- Non, non, pas du tout.
- Non, non, non.
- Sophie de Menton, le coup de cœur pour le premier, c'est le vôtre.
- Allez, vous avez raison.
- C'est un coup de cœur pour vous.
- Non, mais la galanterie n'existe plus.
- On n'a pas le droit.
- Oui, oui.
- C'est ça, c'est votre coup de gueule, en fait.
- Non, il y a un coup de cœur pour la campagne de pub de l'Urssaf.
- Absolument.
- Là, les bras m'en sont tombés et c'est merveilleux.
- L'Urssaf, qui est la bête noire, quand même, souvent des chefs d'entreprise.
- Parce que l'Urssaf est là pour, il faut rappeler à quoi sert.
- Les contrôles.
- Les contrôles, les cotisations.
- Les cotisations, bien sûr.
- L'Urssaf, son utilité, c'est quand même de permettre le financement du système social français, dans son ensemble.
- Nous sommes bien d'accord.
- Avec une petite parenthèse, ce n'est pas l'objet.
- Tant qu'on financera le système social français sur le travail, on aura des problèmes.
- Il faut trouver d'autres financeurs pour notre système social, parce que c'est les boîtes qui paient.
- Mais ce n'est pas le sujet.
- Là, c'est merveilleux.
- J'ai vu une affiche, je l'ai presque découpée, la story Urssaf, le slogan « Oui, je suis ton ami ». Et l'Urssaf s'adresse à nous, chefs d'entreprise, il fait beaucoup mieux.
- D'ailleurs, ils ont décidé de faire une campagne parce que c'est la bête noire des patrons, clairement.
- Et donc, ils voulaient que ça change et...
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