Retranscription des premières minutes :
- « Sud Radio, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Expert. » « ... des droits de l'homme et anciens membres du Conseil économique, social et environnemental. » « Merci d'être avec nous. Budget, 40 milliards d'économies supplémentaires. » « Où va-t-on trouver ce pognon de dingue qui nous manque ? » « 12 agents français en train de quitter Alger. » « La riposte graduée n'a visiblement pas fonctionné. » « Je vous rappelle quand même que vendredi, en visite au Salon du Livre, » « il avait tourné de façon un petit peu alambiquée, en disant « à une certaine forme de liberté ». » « Et nous parlerons de la fin de vie, enfin bref, beaucoup de sujets avec vous. » « Commençons avec vos coups de cœur et vos coups de gueule. » « Jean-Luc, on va commencer avec vous. C'est un coup de cœur pour un documentaire, un coup de cœur que je partage. » « Un énorme documentaire hier soir sur France 5, sur les résistantes. » « Alors il s'appelle comme ça, il s'appelle les résistants. » « C'est un rappel historique absolument nécessaire. » « J'écoutais la fin de l'émission, là, juste avant. » « Ça va de pair avec ce que disait Georges-Marc Bellamou, enfin ce que vous disiez sur... » « Il y a des émissions qui méritent de passer dans toutes les écoles et dans tous les lycées, toutes les facs. » « Celle-là, alors, complètement, c'est un rappel historique sur la place des femmes, » « qui n'était pas qu'anecdotique dans le cadre de la résistance. » « J'en cite cinq quand même, parce qu'on en connaît très bien deux, mais très mal les autres. » « Bon, Geneviève de Gaulle, tout le monde le sait, c'est à tête écart-monde quand elle est sortie des camps, » « c'est surtout une dame, une énorme résistante méconnue. » « L'autre connue, chacun le sait, c'est Lucie Aubrac, haussée, on connaît. » « Après, on connaît moins bien les trois autres que je vais citer, qui font partie de ce documentaire. » « Il s'agit de Mila Racine. » « Alors, Mila Racine, c'est une militante juive, sioniste, de l'époque. » « Il y a une résistance juive en France, notamment un camp basé dans le sud-ouest, » « et ça raconte toute sa vie et tout ce qu'elle a fait. » « Une autre, un peu plus connue, mais quand même qui a été largement oubliée, » « c'est Simone Mathieu. » « Alors, Simone Mathieu, c'est qui ? » « C'est une grande tennisman d'avant la guerre, même, elle gagne Roland-Garros en 1938 et en 1939. » « Vous voyez, c'est quand même pas tout à fait anodin. » « Et après, elle arrête de jouer à Wimbledon, elle arrête, il y a le début de la guerre, elle dit « Non, non, moi je m'engage. » » « Et elle s'engage et elle crée quasiment l'armée féminine française avec l'appui du général de Gaulle. » « Je termine avec la dernière, Renée Lavely, une chanteuse qui fait campagne dans tout le monde. » « Dans tout le Moyen-Orient, pour soutenir les armées françaises dans tout le Moyen-Orient. » « J'arrête là, il faut regarder ce... C'est 4h, c'est 3h30, 4h, c'est exceptionnel. » « Et je pense que c'est à regarder absolument dans toutes les familles, même avec les enfants les plus jeunes. » « Pas les moins de 5 ans. » « Des documents de grande qualité sur France Télévisions, sur France 5. » « Je pensais que vous alliez parler aussi du procès Barbie. » « Le réalisateur Gabriel Le Beaumain, puisque demain c'est le procès Papon qui va commencer. » « Mais le procès Barbie, regardez, c'est absolument saisissant, c'est exceptionnel. » « Le montage est absolument dingue, parce qu'il y avait 130 ou 150 heures de rush de ce procès. » « C'est impressionnant de voir ça. On assiste à 3 heures de procès. » « On ne sort pas de la salle d'audience où il y a des images archives pour contextualiser. » « Oui, mais c'est fait comme un thriller....
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