Retranscription des premières minutes du podcast :
- Avec Théo Ampillac, la revue de presse est un ouf de soulagement pour les propriétaires. Dans une interview accordée ce matin aux Parisiens, aujourd'hui en France, la ministre des Territoires, Catherine Vautrin, met fin aux rumeurs concernant la taxe d'habitation sur les résidences principales. Non, la taxe d'habitation ne reviendra pas, les amis.
- C'est ça, ce chantier ne prendra pas la forme d'une nouvelle taxe, assure la ministre. Alors, page 9 du Parisien, aujourd'hui en France, Catherine Vautrin se dit cependant prête à reprendre des travaux relatifs à la fiscalité qui avaient été commencés par des élus du comité des finances locales. Il faut probablement regarder comment on peut permettre aux collectivités de mieux maîtriser leurs ressources, explique-t-elle. Dans le même temps, les voix se font de plus en plus nombreuses pour donner aux collectivités des moyens pour mieux maîtriser leurs investissements.
- Allez, place au journal du dimanche. C'est dans vos kiosques également ce matin, un portrait saisissant, le portrait d'un ancien dealer qui vient au secours des quartiers de banlieue.
- Cet homme, il s'appelle Rodrigue Tandou, 42 ans. Il nous raconte comment il a sombré dans la délinquance dans son quartier de Bondy. Entre braquages, bagarres et trafic de drogue, sa vie change radicalement.
- Le jour où il rencontre trois bonnes sœurs dans la cage d'escalier de son immeuble, l'une d'entre elles lui ouvre les portes de son église.
- Et à partir de là, le jeune homme décide de se repentir.
- Il crée alors sa propre association pour favoriser les rencontres entre les chefs d'entreprise des quartiers aisés et les caïds qui veulent s'en sortir.
- Les premiers aident les seconds à créer leurs entreprises et les caïds, eux de leur côté, font en sorte de changer la vision sur les jeunes des quartiers.
- Bon, écoutez, ça nous redonne le sourire, cette nouvelle. On revient dans le Parisien aujourd'hui en France, Théo.
- Les guerres en Ukraine et à Gaza qui devraient changer de cours dans deux jours.
- Oui, exactement. 24 heures, c'est le temps que se donne Donald Trump pour mettre fin à la guerre entre l'Ukraine et la Russie.
- S'il est élu, mais les Ukrainiens, vous allez le voir, ne sont pas aussi certains de la rapidité d'action.
- La paix en 24 heures, s'exclame Anatoly, artisan de 64 ans.
- C'est un conte d'Andersen. 24 mois, oui, mais certainement pas 24 heures.
- La grande majorité des Ukrainiens ne souhaitent pas voir Donald Trump arriver au pouvoir.
- Mais au contraire, en Israël, on se réjouit de voir Donald Trump arriver à la Maison-Blanche.
- Selon un sondage israélien, 62% espèrent sa victoire.
- Quant de tels avis interrogés par le journal, Trump serait le mieux placé pour protéger les intérêts du pays.
- Là où Kamala Harris ne ferait pas forcément le poids.
- Justement, on reparlera de l'élection américaine.
- Tout d'abord, Jean-Marie, avec vos invités, ça sera à 8h30.
- Exactement, à 8h30.
- Merci beaucoup Théo Ampillac.
- À lire également dans Le Parisien Aujourd'hui en France, ce récit saisissant sur les traces des...
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