Retranscription des premières minutes du podcast :
- La rue de presse avec Théo Ampillac, bonjour à vous mon cher Théo, elle a une de l'actualité ce dimanche, une interview de Marine Le Pen dans le journal du dimanche, elle continue son offensive.
- On y voit une Marine Le Pen révoltée, indignée, furieuse contre la décision du parquet mais aussi un peu touchée, écoutez ce qu'elle dit.
- Je suis une mère de famille, une femme honnête, disséquée depuis des années et on me réclame 300 000 euros, on me menace de prise en ferme, c'est un immeuble qui s'écroule sur vous, surtout quand on se sait innocent.
- Alors est-ce que cette décision qu'elle qualifie de peine de mort politique va entamer sa détermination ? Elle répond avec aplomb au JDD, si l'objectif était de me démoraliser et me détourner de l'action politique, c'est raté, c'est tout l'inverse.
- Je ne laisserai personne effacer 14 millions d'électeurs et elle termine cette interview la tête haute.
- Je ne vais pas me laisser abattre, ce n'est pas dans mes habitudes.
- Bon allez, on passe aux Parisiens aujourd'hui en France, Théo, on apprend, tenez-vous bien, qu'Emmanuel Macron cherche à reconquérir le cœur des Français.
- Il faut dire que sa cote de popularité, elle est au plus bas, 21% selon l'institut de sondage Elab, une chute de 6 points en 3 mois.
- Alors un ancien ministre dans l'article du Parisien lui conseille même à travers l'article de retourner voir les Français sur le terrain, faire des bannes foules, chose qu'il n'a plus faite depuis 2 mois.
- C'était au Havre pour les 80 ans de la libération de la ville.
- Alors entre-temps, certains députés lui ont fait des appels du pied, comme le député macroniste Patrick Vignal, fin octobre, après les inondations en Ardèche.
- Il l'a encouragé à visiter une commune sinistrée, dit-il, car ça aurait été utile dans cette période bousculée qui va durer.
- Appel resté malheureusement sans réponse et s'il veut réapparaître, il va falloir qu'il le fasse de manière différente.
- Bon courage, sourit un cadre de la Macronie, revenir en politique c'est compliqué.
- Alors revenir quand on est déjà là, ça va encore plus.
- C'est encore plus compliqué à lire également dans la tribune du dimanche, le coup de pression du patron de la SNCF, Jean-Pierre Farandou, au cheminot.
- Restez du côté des Français, ne faites pas grève, j'en appelle à votre sens des responsabilités.
- Mais ce reportage également dans le Parisien Aujourd'hui en France, Théo Ampillac, avec une question.
- Pourquoi les jeunes boudent les appels téléphoniques ? Je vais vous expliquer Jean-Marie.
- Marie-Lou, 17 ans, nous explique l'une des raisons.
- C'est plus rapide d'écrire ou de recevoir.
- Des messages, et si c'est un peu long, on fait un appel vocal.
- Donc d'abord une question de rapidité.
- Et pour d'autres, c'est plus simple.
- Par exemple, pour le travail.
- Victor et Alice, 25 et 22 ans, nous disent.
- Il y a la peur d'un échange trop frontal d'entendre un refus.
- Je vais préférer envoyer un mail car à l'écrit, on arrive...
Transcription générée par IA