Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio, le grand matin week-end, 7h-10h, Laurence Garcia.
- Allez, c'est l'heure de la revue de presse de Thomas Ranou qui s'est levé très très très tôt pour lire les principaux journaux.
- Budget, sécurité, justice.
- Le Figaro se penche ce matin sur les grands défis qui attendent François Bayrou forcément dans les semaines à venir alors que le Premier ministre doit s'envoler ce soir pour Mayotte.
- Il sait qu'il devra s'attaquer rapidement à la pile de sujets brûlants qui s'accumulent sur son bureau.
- Peut-on lire dans les colonnes du quotidien qui pointent la nécessité de résoudre l'équation du budget 2025.
- Le gouvernement Bayrou sera contraint de jouer les pompiers sur l'incendie du budget dès la fin de la trêve des confiseurs.
- Le déficit a plongé à 6,1% du PIB cette année.
- Le nouveau Premier ministre espère le ramener à un peu plus de 5%.
- L'autre sujet majeur à mise en avant, c'est la lutte contre l'insécurité.
- Premier objectif pour Bruno Retailleau, le combat contre la délinquance.
- A-t-il indiqué ? Le Figaro.org C'est aussi des débuts contrariens pour le maire de Pau, qui n'a pas réussi à élargir à gauche l'assise de l'exécutif, toujours entré au centre et à droite.
- François Bayrou décolle ce soir, vous l'avez dit, pour Mayotte, où il restera deux jours.
- Il entend faire taire les critiques.
- Son aller-retour vers son fief Béarné, où il a quitté à la hâte une visioconférence sur la crise Mahorès pour présider un conseil municipal, trois jours après sa nomination, a écorné l'image de ses débuts.
- Note aussi le Figaro.
- Cette visite qui est donc d'ores et déjà décisive pour son image, alors qu'il pâtit d'une cote de popularité historiquement basse.
- Deux tiers des Français se déclarent mécontents de son action, selon le dernier sondage IFOP.
- Voilà, puis on en reparlera d'ailleurs tout à l'heure dans notre débat de 8h30 avec le politologue Arnaud Benedetti et le journaliste politique Yoann Gillet.
- Autre actuelle et une dans cette période hivernale, le Parisien aujourd'hui en France se penche sur la chute des petites stations de ski qui disparaissent au fil des années.
- Un phénomène qui perdure et qui s'explique par plusieurs facteurs.
- 186, Laurence, c'est le nombre de sites de ski qui ont périclité depuis 1950, aussi bien dans le Jura que dans les Vosges, dans le Massif central et même les Alpes, peut-on lire ce matin.
- Un phénomène qui est bien sûr en grande partie induit au réchauffement climatique et à la neige qui se fait de plus en plus rare.
- Mais l'autre raison, c'est aussi le vieillissement du matériel.
- Les petits téléskis des villages ont tendance à disparaître.
- Pourtant, les frais d'entretien sont trop élevés et cela sonne le glas de la remontée mécanique, explique au Parisien Pierre-Alexandre Métral qui est doctorant en géographie.
- Cette réalité inquiète les acteurs du secteur.
- Si le ski s'arrête ici, c'est toute l'activité économique du village qui s'arrête avec, explique un moniteur qui pointe l'importance des stations de ski pour l'ensemble de l'économie...
Transcription générée par IA