Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio, le grand matin week-end, 7h-10h, Laurence Garcia.
- Et à 7h15, je suis avec Théo Ampillac pour la revue de presse.
- A la une de l'actualité ce matin, Théo, l'emblématique parc aquatique de Marine Land Antime qui s'apprête à tirer sa révérence 55 ans après sa création.
- Et oui, cette fermeture rend forcément triste les visiteurs.
- Écoutez ce que dit Marion, venue spécialement d'Ardèche dans Var Matin.
- Marine Land représente beaucoup de souvenirs pour moi.
- J'y suis allée 4 fois quand j'étais enfant.
- Avant que ça ferme, j'ai voulu que ma fille de 3 ans voit ça.
- Je suis très triste, même si je comprends qu'il faut veiller au bien-être animal.
- Alors question, que vont devenir les salariés et les animaux ? On était préparés à ça, on attend notre lettre de licenciement.
- Ensuite, on verra, explique une soigneuse.
- Il n'y aura plus de spectacle, mais pour nous, ça ne changera pas beaucoup.
- On continuera de s'occuper des animaux jusqu'à ce qu'une solution soit trouvée pour eux.
- Marine Land fermera définitivement ses portes demain à 17h.
- Voilà, à la une également.
- Le Figaro qui nous apprend ce matin que les Français ne voient pas du tout d'issue la crise politique actuelle.
- Oui, selon un sondage Odoxa-Boxton Consulting pour le Figaro, 86% des Français pensent qu'Emmanuel Macron devra nommer un nouveau Premier ministre en 2025 et 61% d'entre eux sont favorables à sa démission.
- Dans cette période d'instabilité, les agriculteurs remettent la pression un peu plus sur le gouvernement.
- Ils appellent à une nouvelle journée de mobilisation dimanche en région parisienne.
- Pour atténuer cette colère, la nouvelle porte-parole du gouvernement, Sophie Prima, l'assure.
- François Bayrou recevra tous les syndicats agricoles le 13 janvier prochain.
- Interview que vous pouvez retrouver dans Le Parisien, aujourd'hui en France.
- Voilà.
- Et puis de CMA, CGM à BFM, RMC en passant par la Provence, Libération nous livre ce matin une enquête sur Rodolphe Sadé, ses ambitions et ses méthodes de gestion plutôt musclées, on va dire.
- Oui, ceux qui l'ont rencontré à BFM ont été déçus.
- Écoutez ce que nous dit un salarié.
- Il ne connaît rien. Il a méprisé les salariés importants.
- Il n'a pas d'idée, si ce n'est embauché à n'importe quel prix.
- Il est à Salamé, qui ne veut pas revenir.
- C'est un peu la télé à papa, mais la pieuvre Sadé ne s'arrête pas aux médias.
- Il a des accointances jusqu'au plus haut sommet de l'État.
- Ses investissements en France font plaisir aux politiques, notamment l'ancien ministre de l'économie, Bruno Le Maire, qui l'encensait à l'époque, où il dit « Rodolphe Sadé a toujours répondu présent.
- C'est un entrepreneur patriotique, important pour la souveraineté de la France.
- Mais voilà, du côté du président Emmanuel Macron, pareil, il voulait préserver l'entrepreneur marseillais. » Merci beaucoup Théo. On se retrouve tout à l'heure à 7h18.
- On file du côté de Toulouse.
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Transcription générée par IA