Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio, le grand matin week-end, 6h-10h, Jean-Marie Bordry.
- Il est 7h16 sur Sud Radio, bon réveil, nous sommes le samedi 11 janvier.
- Dans quelques instants, on parle de la circulation interfile des motards.
- C'est désormais légal, qu'est-ce que ça change ? Mais avant ça, Théo Ampillac, la revue de presse, bonjour.
- Bonjour Jean-Marie.
- Le torchon brûle entre Paris et Alger, c'est la une du parisien aujourd'hui en France.
- En cause, refus catégorique hier du régime algérien d'accueillir sur son sol son influenceur, d'où à l'aime, les appels à durcir le bras de fer sont de plus en plus nombreux dans l'aspect politique française.
- Et ça commence ce matin avec David Lysnard, président de l'association des maires de France et emblématique maire de Cannes.
- Il nous dit dans le journal, on ne peut plus laisser imposer sur notre territoire des ressortissants d'autres états qui ont des comportements irrespectueux, délictuels, criminels et menaçants.
- La France n'a pas vocation à être la poubelle du monde.
- Des propos qui interviennent après ceux de Bruno Retailleur hier en déplacement à Nantes qui a déclaré que L'Algérie cherche, je cite, à humilier la France.
- Chez l'ancien Premier ministre Gabriel Attal, même son de cloche, si ce n'est un peu plus violent.
- Cette bravade doit être la dernière face au régime d'Alger.
- La France doit poser des limites et assumer le rapport de France.
- Le rapport de force en tout cas.
- Le rapport de force, pardon.
- La France, on la respecte, on ne la provoque pas.
- Sans conséquence, a-t-il déclaré hier dans une tribune au Figaro.
- Le durcissement des relations entre Paris et Alger, on y reviendra juste après 9h avec le président sortant du groupe d'amitié France-Algérie à l'Assemblée nationale.
- Qu'est-ce qu'il reste de cette amitié d'ailleurs franco-algérienne ? On y reviendra.
- Mais avant ça, justement, le Figaro s'interroge ce matin, Théo Ampillac, sur un autre anniversaire.
- On n'en a pas encore parlé, mais on va y revenir.
- L'anniversaire de la pandémie de Covid-19.
- Cinq ans après, les conséquences sont toujours visibles.
- Et oui, cinq ans, jour pour jour.
- Le 11 janvier 2020, la Chine annonçait son premier mort du Covid.
- Alors que reste-t-il ? Des obligations de porter le masque, des confinements à répétition.
- Moi, ce qui me reste, nous dit Paul, étudiant de 22 ans, moment de vie volé.
- Ces moments de vie volé ont eu un fort impact sur la santé mentale.
- Selon une enquête de l'IFOP, près d'un jeune sur quatre, confié avoir déjà eu des pensées suicidaires, nous dévoile Élodie Gentina, enseignante à l'IESEG.
- Le côté positif de toute cette situation nous indique Laurent Frémont, le cofondateur du collectif Tenir ta main.
- C'est que ça a permis de faire redécouvrir la richesse du lien social et aussi l'importance de rendre visite aux personnes âgées ou malades.
- C'est vrai qu'il y a eu beaucoup de victimes de cette pandémie.
- Plusieurs dizaines de milliers en France.
- On ne les oublie pas non plus.
- Et puis, on termine par un autre...
Transcription générée par IA