Retranscription des premières minutes du podcast :
- La revue de presse avec Théo Ampillac. Cette célébration, cette commémoration en quelque sorte des 80 ans de la libération du camp de Jocelyte qui a lieu demain, la moitié de la presse y consacre sa une.
- C'est ça, la découverte qui a traumatisé l'Europe dans le JDD. Tous gardiens de la mémoire en une de midi libre, ne jamais oubliés en une de l'indépendant.
- Plonge dans les heures les plus sombres d'Auschwitz comme si on y était. Elle nous dit « Lorsque je suis arrivé à Auschwitz pour la première fois, c'était l'enfer.
- Des fumées noires s'échappaient du camp comme des odeurs épouvantables de brutalité. » Elle poursuit « Les Allemands nous faisaient traverser cette industrie à tuer jonchés de cadavres.
- On croisait des squelettes vivants. Les responsables des prisonniers nous disaient même « Si vous rentrez ici par la porte, vous sortirez par la cheminée. » Les personnes ont trouvé la mort dans le camp de la mort à Auschwitz.
- Effectivement. On en parle, bien entendu. On revient sur le reste de la revue de presse, mon cher Théo. À quelques jours du retour du budget à l'Assemblée nationale, sa présidente, la présidente de l'Assemblée, Yael Braun-Pivet, accorde un entretien exclusif aux Parisiens aujourd'hui en France.
- Eh oui. Dès le début, Yael Braun-Pivet est contrastée entre obligation et détermination. Nous n'avons pas le luxe d'échouer. L'absence de budget est un coût quotidien.
- Alors le projet de loi de finances 2025 a été confortablement adopté par le Sénat.
- Dernier, en première lecture, l'examen budgétaire doit se poursuivre en commission mixte paritaire cette semaine.
- La députée européenne des Yvelines se dit optimiste sur la capacité à trouver un bon accord.
- Alors concernant une éventuelle censure, pas d'inquiétude pour Yael Braun-Pivet.
- Elle dit qu'il y a un chemin pour l'éviter, celui du compromis, avant de poursuivre le gouvernement Bayrou à toutes ses chances, s'il arrive à trouver ce chemin.
- Oui, s'il arrive à le trouver, effectivement. Il faut une sacrée boussole.
- Elle est toujours dans le Parisien aujourd'hui en France. C'est l'histoire d'Elias qui révolte la France.
- On tient Elias, 14 ans, poignardé pour un téléphone, pour son téléphone.
- Ça s'est passé à Paris. Les parents du club de foot où jouait l'adolescent témoignent.
- On a appris la nouvelle quand on nous a annoncé que tous les matchs du club étaient annulés.
- Mon fils, qui ne connaissait pas Elias, s'est mis à pleurer, nous déclare avec émotion ce matin un père de famille.
- Lui ne l'a pas encore dit à son fils. Conscient que ce drame les concerne tous, il poursuit.
- Il va falloir trouver les mots pour lui expliquer sans tomber dans la psychose.
- C'est de la classe politique. Ça a également réagi ce matin avec un tweet du Premier ministre François Bayrou.
- Il dit « Elias, 14 ans, il est allé à l'entraînement de foot.
- Deux mineurs plus âgés que lui veulent le raqueter, voler son portable.
- Ils l'ont poignardé à l'épaule. Il a succombé à sa...
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