Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio, le grand matin week-end, 7h-10h, Jean-Marie Bordry.
- Il est 8h moins 10 précisément sur Sud Radio, place à la revue de presse très politique ce matin.
- Pour le coup, encore une fois avec vous Théo Ampillac, François Bayrou qui annonce donc qu'il engagera la responsabilité de son gouvernement et il le confirme dans la tribune du dimanche ce matin.
- Un pays comme le nôtre ne peut pas rester sans budget.
- Le seul moyen c'est d'engager la responsabilité du gouvernement et ce sera fait ce lundi, affirme François Bayrou.
- Dans son interview, le Premier ministre semble confiant quant à l'avenir, comme si le risque de censure n'existait pas.
- Il dit que les 49 droits nécessaires seront déployés sans retard si tout va bien d'ici 10 jours.
- La France aura enfin les budgets indispensables à la vie de la nation.
- La réaction du Rassemblement National ne s'est pas faite attendre.
- Jordan Bardella, en déplacement dans la Drôme pour un meeting, a sobrement commenté auprès de plusieurs journalistes.
- La décision sur la censure n'est pas encore prise, tout sera décidé demain.
- Oui.
- Alors à ce propos, les membres de la majorité présidentielle tiennent absolument à éviter une nouvelle censure.
- Dans la presse ce matin, ils préviennent l'opposition sur les conséquences d'un nouveau scénario catastrophe pour eux.
- La censure a coûté 175 euros par Français, soit 12 milliards au total.
- Il ne faut pas que les débats s'éternisent, prévient la ministre du Travail, Catherine Vautrin, dans les colonnes du Parisien aujourd'hui en France.
- Même son de cloche pour Gabriel Attal dans le JDD.
- Le chef du groupe EPR à l'Assemblée Nationale perd de l'ornière en donnant la parole aux Français à travers quoi ? Eh bien, les référendums.
- La clé, c'est le peuple.
- On ne peut pas se payer le luxe de deux ans d'immobilisme.
- Ce serait criminel pour la France et les Français.
- On verra s'il ose vraiment le faire.
- Allez, on parle maintenant d'une autre situation.
- Rien à voir avec la politique, mais c'est catastrophique.
- C'est dans le Roussillon, plus précisément les Pyrénées-Orientales.
- C'est à la une de Midi Libre.
- Et la sécheresse, en fait, elle n'en finit pas.
- NAP, cours d'eau.
- Depuis 2022, le département est en rouge.
- Sur la carte de la sécheresse, Perrine Fleury, hydrologue et théophile martinaise, maire du village de Casse-de-Penne, alerte sur la situation dramatique pour la région de Perpignan.
- Ils disent qu'on est descendu à des niveaux tellement bas qu'il faudrait deux ans de précipitation pour combler le déficit.
- C'est énorme.
- Cette eau est devenue tellement rare que certaines rivières n'atteignent même plus la mer depuis des années.
- Le manque d'irrigation a des conséquences directes sur la végétation.
- Le maire théophile martinaise nous dit qu'à l'été 2024, on a vu la végétation décrocher d'un coup, sol, peuplier et être.
- On a eu droit jusqu'à 100% de mortalité par endroit.
- A noter un chiffre qui va redonner un peu de baume au cœur puisque 2024 a été l'année la plus pluvieuse depuis...
Transcription générée par IA