Retranscription des premières minutes du podcast :
- Avec Théo Ampillac. Bonjour, Théo. Bonjour, Jean-Marie. Bonjour à tous.
- Jean-Luc Mélenchon acte la rupture entre la France insoumise et le Parti socialiste. C'est dans la tribune du dimanche, ce matin.
- Eh oui. Dans cette interview, il n'épargne personne. Ni François Hollande, ni le premier secrétaire du PS, Olivier Faure.
- Il les critique. Ni l'un ni l'autre. Nom de programme. Ni écologique, ni social, ni national.
- Nous devons tourner la page d'une alliance toxique. Plus loin dans l'interview.
- Il va plus loin et accuse « On ne peut pas avoir pour allier des gens dont l'activité principale est de nous tirer dans le dos.
- Les socialistes n'ont jamais eu l'intention d'être des partenaires. Ils voulaient juste profiter de nous. » Alors du coup, pour 2027, en fin d'entretien, Jean-Luc Mélenchon confie vouloir un candidat issu de la France insoumise pour la présidentielle.
- Bon. Écoutez, on suivra cela. Merci beaucoup, Théo Ampillac. On continue cette fois-ci à droite.
- Bruno Retailleau, le ministre de l'Intérieur, qui dévoile son projet pour les Républicains dans le Parisien aujourd'hui en France.
- Et il dit...
- Je veux m'adresser aussi bien aux macronistes qu'aux électeurs du Rassemblement national.
- Bref, à tous les Français, y compris ceux dégoûtés par la politique.
- Alors dans cette campagne interne des Républicains, on a presque l'impression que Bruno Retailleau est en campagne présidentielle.
- Je vois bien que ma politique de fermeté sur l'immigration, le narcotrafic et la lutte contre l'islamisme séduit même les électeurs de gauche.
- Le temps n'est plus à l'eau tiède et aux demi-mesures. Je veux que la droite écrive une nouvelle page pour la France.
- Les cadres des Républicains se sont mis d'accord. Le 17 mai, ils désigneront leur nouveau président.
- Et puis ce dossier qui, décidément, est au cœur de beaucoup de débats politiques depuis des années.
- La Cour des comptes, Théo, contredit Matignon sur les retraites.
- Son rapport attendu mercredi risque fort d'agacer François Bayrou. C'est ce que confirme la tribune du dimanche.
- Eh oui. Contrairement au Premier ministre, la Cour des comptes ne valide pas l'idée d'un déficit massif de 55 milliards d'euros.
- Elle préfère suivre les prévisions du Conseil d'orientation des retraites, qui intègre les cotisations des employeurs publics.
- Mais l'équilibre financier reste, lui, fragile. Et un retour à la retraite à 64 ans semble compromis.
- De quoi inquiéter syndicats et patronats. C'est voué à l'échec, déclare le MEDEF, qui menace déjà de quitter les négociations.
- De quoi contrecarrer les plans de François Bayrou.
- Oui. Il avait essayé de réunir les partenaires sociaux pour qu'ils trouvent une solution. Tiens, je vois tout de suite Nicolas Corato, qui est fort aise.
- De ce que vous venez de lire. Merci beaucoup Théo Ampillac.
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Transcription générée par IA