Retranscription des premières minutes du podcast :
- Avec un autre membre de la famille Sud Radio, c'est Théo Ampillac. Bonjour, Théo. Bonjour, Jean-Marie. Bonjour à tous.
- Bon, vous êtes scotché en studio. Pas de gourmandise, pas de pull en laine. C'est comme ça. Vous, vous avez tous les journaux.
- Alors aujourd'hui, évidemment, à la une de la presse, c'est Michel Barnier qui a enfin dévoilé son gouvernement.
- Oui. Et maintenant, au travail, titre le JDD. Paris risqué en une de la tribune du dimanche. Il était 19h40 hier soir.
- Quant à Alexis Kohler, secrétaire général de l'Élysée, s'est approché du pupitre pour annoncer le tant attendu gouvernement.
- Et sans surprise, Bruno Retailleau est en charge du ministère de l'Intérieur.
- Agnès Pannier-Runacher quitte le perchoir de l'Assemblée pour rejoindre la transition écologique.
- Et Anne Geneté prend les rênes de l'éducation nationale.
- Et dans la presse ce matin, on peut lire aussi les réactions. Pas très ravis de l'opposition.
- Barnier 1, la droite en force en une de Midi Libre. Cap à droite s'exclame le Télégramme.
- À droite, toute titre La Provence. Sur les trois journaux, on voit le visage concentré et déterminé de Michel Barnier.
- Et à peine dévoilé, le gouvernement Barnier est déjà sous les feux des critiques.
- Ce nouveau gouvernement signe le retour du macronisme par une porte dérobée, s'est exprimé Jordan Bardella dans les colonnes de L'Express.
- Jean-Luc Mélenchon, le leader de la France insoumise, lui dénonce la création d'un gouvernement déperdant des élections législatives qui est dans la main de l'inquiétant ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau.
- On le rappelle, la gauche a déjà annoncé qu'elle voterait.
- Et une motion de censure contre ce nouveau gouvernement à l'Assemblée nationale.
- Sujet chaud, sujet extrêmement tendu pour le gouvernement. Il y a la question des impôts, évidemment.
- Eh oui, Antoine Armand, le nouveau ministre de l'Économie, s'est longuement confié à ce sujet dans une interview exclusive accordée au JDD.
- Dans le contexte budgétaire, exclure d'office certains prélèvements exceptionnels et ciblés ne serait pas responsable.
- Nous devons baisser les dépenses publiques et la rendre plus efficace, s'est-il confié.
- Il conclut par une note optimiste. La solution n'est pas d'augmenter les impôts.
- Même si ça en fait partie manifestement. Merci beaucoup, Théo Ampillac.
- 7h43 sur Sud Radio. Restez avec nous. Vous parliez des impôts. On va parler de l'économie.
- Figurez-vous que ça va mal. Mais pour une fois, c'est pas forcément en France.
- L'économie allemande va mal. C'est ce qu'on verra avec Didier Testo dans quelques minutes.
- Mais avant ça, le tourisme de demain, ça se passe dans le Nord avec Morad Aïtabouche.
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Transcription générée par IA