Retranscription des premières minutes :
- Lui, il pédale plus souvent qu'il ne surfe. Mais là, il a décidé de surfer sur l'info. La revue de presse Théo Ampillac. Bonjour.
- Bonjour Jean-Marie. Bonjour à tous.
- Vous revenez sur la fusillade à Rennes et le cri d'alarme ce matin dans le Parisien Aujourd'hui en France de la maire Nathalie Apéré face au trafic de drogue.
- Là, on franchit encore un cran avec ces tirs, déclare-t-elle, en une du Parisien Aujourd'hui en France, encore sous le choc visiblement de ce qui s'est passé dans sa ville.
- C'est un quartier dans lequel on sait qu'il y a du deal. C'est un combat permanent.
- Alors, face à cette situation, la demande est claire. Plus de force de l'ordre sur le terrain.
- Nathalie Apéré réclame la présence constante d'une unité mobile.
- Quand on est face à du grand banditisme, la réponse est policière et judiciaire.
- Sur les réseaux sociaux, le ministre de l'Intérieur Bruno Retailleau a réagi hier après-midi en promettant ordre et fermeté dans la vie.
- Il dit, je cite, « La CRS 82 restera sur place aussi longtemps.
- Que nécessaire, nous retrouverons ces barbares et nous les mettrons hors d'état de nuire. » Fin de citation.
- Effectivement. Fin de citation.
- On revient sur le scandale des eaux contaminées.
- Perrier qui plonge un peu plus dans la tourmente, vous le dites.
- Oui, on peut dire que cette nouvelle affaire tombe mal.
- Déjà fragilisée par un précédent scandale sanitaire, de nouvelles contaminations ont été détectées dans des bouteilles de l'usine de Vergès dans le Gard.
- Un porte-parole de Nestlé Waters, propriétaire de Perrier, tente de rassurer.
- Dans le Figaro ce matin, il explique.
- Les anomalies détectées sont liées à une opération technique au sein de l'usine et à un dépassement quantitatif de la flore naturelle de l'eau minérale.
- Il n'y a aucune contamination des forages que nous utilisons pour Perrier en 2025.
- Mais l'inquiétude grandit à Vergès dans Midi Libre.
- La maire, Pascal Fournat-Déchant, s'alarme des conséquences pour l'économie locale.
- Même si on ne travaille pas chez Perrier, c'est quand même une histoire importante, affective.
- On ne peut pas laisser fermer deux entreprises et se résoudre à aller acheter de l'eau produite.
- On ne sait où.
- Même si l'entreprise affirme tout mettre en œuvre pour assainir sa production, elle pourrait perdre une précieuse étiquette, celle d'eau minérale naturelle.
- Oui, exactement.
- Il faudra suivre tout ça.
- C'était la maire, Pascal Fournat, qui s'exprimait notamment dans la presse.
- Fournat-Déchant.
- Six ans après, Théo, la revue de presse continue.
- Six ans après, on connaît enfin la vérité sur la mort du jeune rugbyman Nicolas Chauvin.
- C'est ce qu'on peut redire.
- C'est ce qu'on peut redécouvrir dans le Parisien aujourd'hui en France.
- On en avait beaucoup parlé sur Sud Radio.
- Une tragédie survenue en 2018 lors d'un match entre le Stade français et l'Union Bordeaux-Begle.
- A l'époque, deux plaquages hauts avaient provoqué un arrachement et une dislocation des deux premières vertèbres cervicales du jeune joueur parisien entraînant son décès.
- Alors, la question que tout le monde se pose, c'est entre 2018 et aujourd'hui, comment la FFR a-t-elle pu mettre autant de temps à faire toute la lumière sur ce drame ? On apprend dans le journal que...
- Florian Grille, élu à la tête de la Fédération en juin 2023, a découvert seulement l'été dernier qu'aucun rapport officiel n'avait été rédigé sur les circonstances de la mort du joueur.
- Et plus troublant encore, la vidéo du match qui aurait pu servir de preuve aurait été détruite par la FFF et personne, à l'instance, n'avait pensé à prévenir le ministère des Sports.
- Jeudi, une réunion avec la Fédération a permis d'établir qu'il y avait bien eu deux fautes, deux contacts illicites, affirme Philippe Chauvin, le père de Nicolas, avant de conclure plus loin dans l'article.
- Nous attendons maintenant des explications sur cette omerta qui a duré plus de six ans et qui nous a considérablement compliqué la tâche.
- Mais on essaiera d'en reparler d'ailleurs sur Sud Radio, la radio du rugby, pour le meilleur comme pour le pire.
- Merci beaucoup Théo Ampillac, il est 7h43.
- .
Transcription générée par IA