Retranscription des premières minutes du podcast :
- Tout de suite, il ne boit pas et il ne fume pas non plus, c'est le docteur Simeca.
- Bonjour Daniel.
- Bonjour, bonjour à tous.
- On parle de la santé, de votre santé, comme chaque samedi matin sur Sud Radio à la même heure.
- Il est 7h41, votre message, buvez moins à l'approche des fêtes.
- Pourquoi ? Parce que l'approche des fêtes, forcément, on va...
- Pas forcément, d'ailleurs, non, je commence par dire une bêtise.
- Il n'est pas obligatoire de boire de l'alcool et il y a un vieux préjugé qui voudrait que de faibles quantités d'alcool soient bonnes pour la santé.
- Tout ça a été mis en échec.
- La santé idéale, c'est zéro alcool.
- Après, évidemment, on reste dans une dimension humaine.
- Et ce qui est intéressant de réduire avant les fêtes, évidemment, il y aura ensuite le fameux janvier sec ou dry January quand on parle français, mais de réduire avant, ça permet...
- Peut-être de pouvoir optimiser le plaisir par rapport à la quantité pendant les fêtes.
- Parce que, tout le monde le sait, en fait, plus on boit, moins il y a de plaisir et c'est la roue infernale qui amène à consommer davantage.
- Alors que les gens qui consomment très peu d'alcool le savent, finalement, un petit apéro de temps en temps, ça procure beaucoup de plaisir avec pas beaucoup d'alcool.
- Voilà l'intérêt de se sensibiliser et de réduire avant les fêtes.
- Voilà aussi l'intérêt de continuer à réduire sur la durée, on est d'accord.
- Et sur la durée, et on peut rappeler maintenant les recommandations qui sont des recommandations uniques dans les deux sexes.
- Avant, on était un peu plus sévère pour les femmes.
- Maintenant, c'est une recommandation unique de divers standards.
- Vous savez, les verres standards, c'est-à-dire que si on boit de la bière et si on boit du whisky, ce n'est pas le même verre.
- De divers standards.
- Par semaine, avec au moins un jour ou deux à zéro verre, et pas plus de deux verres le même jour.
- Vous voyez, c'est les trois critères.
- Bien évidemment, la femme enceinte ou allaitante, c'est zéro plus zéro.
- Évidemment, les mineurs, enfin, le problème est spécifique pour les ados, mais normalement, c'est zéro alcool.
- Pourquoi le problème est spécifique pour les ados ? Comment ? Pourquoi le problème est spécifique pour les ados ? C'est compliqué, les ados.
- Ça a toujours été...
- C'était compliqué.
- Et puis, il n'y a pas que l'alcool.
- Donc, voilà, le sujet des ados mériterait une chronique entière.
- On est tous passés par là.
- À leur sujet, mais en tout cas, normalement, effectivement, surtout les alcools très forts, le binge drinking, etc., ça, c'est une catastrophe parce que c'est une roue infernale et assez rapide.
- Voilà, donc, avant les fêtes, on commence à se sensibiliser parce que comme ça, le petit coup qu'on boira le soir du réveillon ou le lendemain, il procurera finalement autant de plaisir que quand on est dans une espèce d'habitude et de routine qui, finalement,...
Transcription générée par IA