Des touristes se promènent dans les rues de Strasbourg, le 29 novembre 2008, lors de l'ouverture du traditionnel marché de Noël. Outre ses traditionnels "bredele" (petits gâteaux secs) et confiseries, le "Christkindelsmaerik" ("marché de l'enfant Jésus" en alsacien) organisé depuis 1570 à Strasbourg, accueille cette année --présidence européenne oblige-- un village européen d'artisans originaires d'une quinzaine de pays de l'Union. Deux millions de visiteurs sont attendus jusqu'au 31 décembre. AFP PHOTO / PATRICK HERTZOG (Photo by PATRICK HERTZOG / AFP)
Noël : cadeaux d’occasions, malin ou radin ? François Truong x Pierre Talamon x Flavien Neuvy
Les invités
L'actualité du jour commentée et débattue par Jean-Jacques Bourdin et ses invités. Retrouvez "Parlons vrai chez Bourdin" du lundi au vendredi de 9h à 10h sur Sud Radio et en podcast.
Retrouvez ci-dessous la retranscription automatique des 5 premières minutes de votre émission :
"Racontez-nous comment allez-vous passer ce fameux Noël 2023."
Jean-Jacques Bourdin : Bien nous sommes avec Benjamin Glaise, Benjamin vous préparer Noël ça va ?
Benjamin Glaise : Ben oui ça va.
Jean-Jacques Bourdin : Vous partez hein ?
Benjamin Glaise : Non, non, non.
Jean-Jacques Bourdin : Vous restez là.
Benjamin Glaise : Je suis toujours sur Sud Radio.
Jean-Jacques Bourdin : Bon, je croyais que vous partiez en vacances moi Benjamin. Moi je vais partir, quelques jours je vous le dis. Je vais partir d'abord dans mes Cévennes. Ça me fait plaisir de retrouver d'ailleurs mon pays d'origine. Bien, vous êtes nombreux à partir. Je sais, prenez la route, vous allez prendre le train. J'imagine, moi aussi je vais prendre le train. Dimanche matin. J'imagine un peu la bousculade dans les trains. Vous allez voir la famille, vous allez voir les amis. Vous allez nous raconter comment vous allez passer Noël. Tout à l'heure nous prendrons plusieurs auditeurs qui ont appelé Christine par exemple, et Jacques, Pierre et Sébastien et d'autres. Vous appelez 0826 300 300. Racontez-nous comment allez-vous passer ce fameux Noël 2023. Sur Sud Radio on joue et on gagne Benjamin.
" Elle ajoute, ce tribunal médiatique continue, ça fait des mois que ça dure et c'est en train de tuer un homme."
Benjamin Glaise : On gagne à tous les coups. Vous le savez avec le grand sapin de Noël, Sud Radio. Vous nous appelez tout de suite 0826 300 300 pour gagner. À gagner notamment un séjour en famille au Futuroscope, ou encore un casque Bluetooth avec Sud Radio, la Confédération des Buralistes. Il y a aussi une licence photo avec la Shootingbox.com. On verra tout à l'heure ce que vous avez gagné. 0826 300 300. Un numéro. 18. Allez, 18ème appel gagnant. Bonne chance à tous 0826 300 300.
Jean-Jacques Bourdin : Allez, vous gagnez la gagnante ou le gagnant tout à l'heure avec nous avant 9h30. En attendant, j'aimerais que nous revenions sur Gérard Depardieu et sur l'intervention, enfin le commentaire, les précisions données par le Président de la République mercredi soir et qui ont fait réagir beaucoup de monde. Et notamment, tout ce qui se passe autour de Gérard Depardieu a provoqué l'intervention médiatique hier soir dans Quotidien de Carole Bouquet. Je rappelle que Carole Bouquet a partagé l'avis de Gérard Depardieu pendant 10 ans. Il se connaisse depuis 40 ans, un peu plus de 43 ans. Je rappelle aussi que Carole Bouquet est féministe et elle dénonçait hier soir le tribunal médiatique.
Benjamin Glaise : Oui, elle le dit exactement. Dans l'émission Quotidien, elle assure que Gérard Depardieu n'est pas violent avec les femmes, qu'il est incapable de faire du mal à une femme. Concernant les séquences dévoilées par l'émission Complément d'enquête, elle déclare que ce sont des propos qui sont effectivement graveleux, mais il l'a fait depuis toujours et puis ça fait rire, ça ne fait pas rire. On lui a dit, moi je lui ai dit. Et effectivement, elle ajoute, Jean-Jacques, ce tribunal médiatique continue, ça fait des mois que ça dure et c'est en train de tuer un homme. "J'ai peur pour lui", c'est ce qu'elle a indiqué. Pour rappel, Gérard Depardieu a été mis en examen pour viol et agression sexuelle, des accusations qu'il réfute.
Jean-Jacques Bourdin : Alors, je prends Olivier tout de suite. Bonjour Olivier.
Invité : Oui, bonjour. Carole Bouquet, c'est son... D'abord, merci de m'accueillir.
Jean-Jacques Bourdin : Je vous en prie Olivier.
"Après cette histoire de séparer l'artiste de l'homme, moi j'ai un peu de mal, je vous avoue que, comme si on disait que Hitler était un grand peintre malgré ses choix funestes..."
Invité : Je réagis parce que je suis au tribunal médiatique. Je ne sais pas, si on écoute Carole Bouquet, on peut aussi l'écouter à Anouk Grimbert. Moi, j'écoutais à Anouk Grimbert, c'est aussi notre approche du personnage. Écoutez, moi j'ai été très choqué par ce que j'ai entendu et je pense que ça aurait dû choquer le président de la République aussi, mais lui il n'y a pas grand-fils sous le choc, donc on a bien vu qu'il a quand même été capable de dire qu'il était un grand homme malgré ses choix funestes. Donc après cette histoire de séparer l'artiste de l'homme, moi j'ai un peu de mal, je vous avoue que, comme si on disait que Hitler était un grand peintre malgré ses choix funestes ou que Louis était un grand convoiteur de luxe, enfin bon, à un moment donné, il faut arrêter les conneries.
Jean-Jacques Bourdin : Ça, ce n'était pas le cas.
Invité : Non, non, non, je dis ça, c'est pour dire à un moment donné, il faut arrêter les conneries. Voilà ce qu'il a dit, c'est odieux, c'est insupportable. J'adore l'acteur en plus. Au départ, je suis un grand fan de l'acteur,
Jean-Jacques Bourdin : C'est sûrement le plus grand acteur qu'on ait eu.
Invité : Après, je suis désolé, s'il est vraiment condamné, il y a un paquet quand même d'affaires de viols et d'agressions sexuelles.
Jean-Jacques Bourdin : Attention, attention, il y a des dénonciations pour agressions sexuelles, plusieurs jeunes femmes, et je crois qu'il n'est poursuivi que pour un... il faudrait regarder Benjamin, il est poursuivi devant la justice pour un viol.
Benjamin Glaise : Mise en examen.
Jean-Jacques Bourdin : Mise en examen pour un viol, voilà, pour une agression sexuelle.
Invité : Très honnête aussi, il y a une espèce d'impunité quand il s'agit des politiques, on a vu pendant ce qu'ils se baladaient pendant je ne sais pas combien de temps en liberté. (...)