Crise des agriculteurs : Jean-Jacques donne la parole aux auditeurs
Crise des agriculteurs : Jean-Jacques avec les auditeurs
Les invités
L'actualité du jour commentée et débattue par Jean-Jacques Bourdin et ses invités. Retrouvez "Parlons vrai chez Bourdin" du lundi au vendredi de 9h à 10h sur Sud Radio et en podcast.
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Retrouvez ci-dessous la retranscription automatique des 2 premières minutes de votre émission :
"Si les agriculteurs n'obtiennent pas des réponses concrètes du gouvernement ils pourraient durcir le mouvement."
Jean-Jacques Bourdin : 0826 300 300 c'est votre numéro vous êtes sur Sud Radio et sur sud radio on vous accueille on vous écoute évidemment agriculteur pas agriculteur cette crise de l'agriculture vous concerne directement ou indirectement n'hésitez pas à donner votre avis à nous raconter ce que vous vivez actuellement nous avons besoin de vos témoignages vous le savez mais il n'y a pas que l'agriculture il y a aussi le discours dans sa globalité du premier ministre Gabriel Attal comment l'avez vous trouvé est-ce que vous trouvez les mesures annoncées par Gabriel Attal bonne dites nous dites nous 0826 300 300 d'autres sujets encore qui vous font réagir dans l'actualité vous êtes avec nous vous avez une heure parce que compte tenu de la situation assez exceptionnelle que nous vivons et bien nous consacrons l'heure entière 9 heures 10 heures à vos témoignages à vos remarques à vos récits n'hésitez pas 0826 300 300 bien je suis évidemment comme tous les matins avec Benjamin Glaise qui est là Benjamin plusieurs choses d'abord d'abord je crois que nous allons rejoindre l'un de nos journalistes sur le terrain.
Benjamin Glaise : Oui effectivement on prend la direction de A6 on est au sud de paris avec notre reporter Clément Bargain qui est sur place Clément les agriculteurs qui se sont rapprochés en Rungis.
Clément Bargain : Oui des agriculteurs qui étaient à Villabé à une quinzaine de kilomètres plus au sud et qui ont décidé de redémarrer les tracteurs hier après midi pour avancer en direction de Paris. Ils sont désormais positionnés ici sur l'assise au niveau de Chigny-Mazarin à quelques kilomètres seulement de l'aéroport d'Orly et du marché de Rungis. Leur progression a été stoppée par un barrage des forces de l'ordre appuyé de plusieurs blindés de la gendarmerie c'est un rapport de force qui s'installe ici aux portes de Paris. Si les agriculteurs n'obtiennent pas des réponses concrètes du gouvernement ils pourraient durcir le mouvement en tentant d'avancer un peu plus encore en direction de paris les agriculteurs qui en tout cas peuvent compter ici sur le soutien de nombreux automobilistes et souffleurs routiers qui les klaxonnent copieusement sur la file d'à côté. (...)