Par Jean-Jacques Bourdin
avec Alixe Rivière, Laurent Frajerman, Omar Youssef Souleimane
La grande confrontation du 15 mars 2024
Des librairies islamiques radicalisées ? / Groupe de niveau à l’école : exigence ou tri social ?
Les invités
L'actualité du jour commentée et débattue par Jean-Jacques Bourdin et ses invités. Retrouvez "Parlons vrai chez Bourdin" du lundi au vendredi de 9h à 10h sur Sud Radio et en podcast.
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"3 opposants : un nationaliste, un communiste et un homme d'affaires."
Jean-Jacques Bourdin : Merci d'être avec nous 0826 300 300, vous réagissez sur tous les sujets d'actualité. L'actualité aujourd'hui ce sont les 20 ans de la loi de 2004 protégeant la laïcité en France, protégeant la laïcité, imposant la laïcité, c'est la règle de la République évidemment, cette loi de 2004, 20 ans après, est-elle en danger ou pas ? Nous allons évidemment y revenir, la laïcité est-elle en danger ou pas, nous allons y revenir. Bien, mais il y a d'autres sujets, élections en Russie ça a commencé. Benjamin Glaise est avec nous, regarde l'actualité pour nous Benjamin.
Benjamin Glaise : Ça va bientôt commencer, l'élection présidentielle en Russie, ça va commencer ce soir 20h, heure française, voilà, et ça va durer jusqu'à dimanche, ça dure autant de temps tout simplement parce que c'était un pays immense, 11 fuseaux horaires, d'où la nécessité aussi d'organiser ce type d'élection sur plusieurs jours. Plusieurs choses à noter, le Kremlin veut inciter le vote électronique, ça se développe de plus en plus, les fonctionnaires là sont forcés d'envoyer à leur supérieur une capture d'écran de leur vote électronique sous peine de licenciement, fonctionnaires qui sont obligés de voter, d'autres informations également, la concurrence à Vladimir Poutine, trois concurrents, ils sont tous en faveur de la guerre en Ukraine.
"La paix ce n'est pas la capitulation de l'Ukraine."
Jean-Jacques Bourdin : Voilà, il y a trois opposants à Vladimir Poutine, un nationaliste, un communiste et un homme d'affaires, voilà, vous voyez c'est une élection un peu particulière, l'élection Russe, on aura l'occasion d'en reparler. L'interview d'Emmanuel Macron, aussi des réactions tout à l'heure, alors aucune annonce particulière, mais il a rappelé la position qu'il tient, la position de la France.
Benjamin Glaise : C'est plus des précisions effectivement, une tentative de clarification plutôt que de la volonté de faire des annonces effectivement, quelques petites phrases à retenir sur la position de la France face à la guerre en Ukraine. "La Russie ne peut pas et ne doit pas gagner la guerre". C'est ce qu'il a affirmé, "nous ne faisons pas la guerre à la Russie, jamais nous ne mènerons d'offensive, jamais nous ne prendrons l'initiative, mais si la situation se dégrade", dit-il, nous serons prêts et puis la paix ce n'est pas la capitulation de l'Ukraine". (...)