Faut-il le retour du service militaire obligatoire ? Bastien Lachaud x Général Jean-Marc Marill
Les invités
L'actualité du jour commentée et débattue par Jean-Jacques Bourdin et ses invités. Retrouvez "Parlons vrai chez Bourdin" du lundi au vendredi de 9h à 10h sur Sud Radio et en podcast.
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Retrouvez ci-dessous la retranscription automatique des 2 premières minutes de votre émission :
"Grande réunion des PME de France."
Jean-Jacques Bourdin : Merci d'être avec nous, 9h04, vous êtes sur Sud Radio pour savoir et comprendre le matin. Ce n'est pas compliqué, vous intervenez parce que c'est votre espace, c'est votre moment. 0826 300 300, vous avez le droit de vous exprimer sur tous les sujets que vous souhaitez aborder et nous avons besoin de vos témoignages parce que nous avons besoin de savoir ce que vous vivez. Les difficultés au quotidien, nous avons beaucoup parlé des PME cette semaine parce que nous serons jeudi à Lyon, il y a une grande réunion des PME de France. Beaucoup, beaucoup de petites et moyennes entreprises qui seront présentes et nous serons directs de là-bas avec le patron de la CGPME, François Asselin, à 8h30 comme invité. Et vous êtes patron d'une PME, d'une petite entreprise, vous êtes artisan, vous avez des revendications. Dites-nous, appelez-nous, dites-nous parce qu'on en a besoin, ça va nourrir notre émission de jeudi matin. Bien, bien. Nous sommes avec Maxime Trouleau. Bonjour Maxime.
Maxime Trouleau : Bonjour Jacques, bonjour tout le monde.
Jean-Jacques Bourdin : Bonjour Maxime. Alors, vigilance attentat, nous sommes à un alerte maximum. Oui, urgence. Les jeux dans quatre mois, ce qui s'est passé à Moscou, sans doute, et le général Trinquant le disait, des informations qui sont parvenues aux oreilles, plus qu'aux oreilles des services secrets français, c'est la raison pour laquelle ce plan a été déclenché.
Maxime Trouleau : Oui, urgence attentat, un contexte terroriste très tendu, décision prise hier soir par le gouvernement après un conseil de défense spécial, présidé par Emmanuel Macron, pourquoi donc ? Compte tenu, je cite, de la revendication de l'attentat par l'État islamique et des menaces qui pèsent sur notre pays. Voilà la justification faite par le premier ministre Gabriel Attal la dernière fois, mais c'était il n'y a pas si longtemps que ça. C'était en octobre dernier que la France était en urgence attentat maximal après l'assassinat du professeur Dominique Bernard à Arras.
Jean-Jacques Bourdin : Bien, vous allez réagir évidemment, nous allons prendre Paula et Céline, parce qu'il y a beaucoup de lycées, collèges qui sont sous surveillance d'écoles, sous surveillance parce qu'il y a eu de nombreuses alertes à la bombe, c'est cela, hein Maxime ?
Maxime Trouleau : Oui, en Île-de-France récemment, dans les Hauts-de-France et ce matin, ces deux lycées de Colmar en Alsace qui ont été bouclés. (...)