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Par avec Général François Chauvancy, Benjamin Coriat, Arnaud Gallais

Le Proche-Orient, à l'aube de l'embrasement ?


Au programme du jour : Le Proche-Orient, à l'aube de l'embrasement ? / Crise économique : et si on augmentait les impôts ? / Quid de l'aide à l'enfance ?
Les invités

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Et on est ensemble jusqu'à 14h sur Sud Radio pour cette édition de Poulain sans réserve. Aujourd'hui, nous allons parler avec le général François Chauvency de la situation à Gaza, au Liban et puis des gesticulations à l'ONU. Où est-ce que tout cela va ? Guerre mondiale, guerre régionale ou crise géopolitique majeure.
- On parlera ensuite des finances. 6% de déficit. Et oui, et jusqu'où ? Et combien ? Les comptes de la nation ont-ils été maquillés avec Benjamin Coria, professeur et membre du collectif des économistes atterrés ? Ce sera tout à l'heure à 12h30. Et puis à 13h, en deuxième partie d'émission, nous recevrons Arnaud Gallet, cofondateur de Mouve Enfant, ex-membre de la Civis, pour parler des graves dysfonctionnements de l'aide sociale à l'enfance.
- Beaucoup de scandales cette semaine sur des familles d'accueil qui étaient en fait des thénardiers.
- Et sur la prostitution des mineurs organisée à la sortie des hôtels de l'aide sociale à l'enfance. Beaucoup à dire à ce sujet.
- Et puis je ferai un édito sur Philippines, puisque de droite et de gauche, ils prennent tous position. Mais on se demande finalement si ce débat n'est pas obscène, tant il n'y a rien à dire face à l'ampleur de ce drame. Alors on va se retrouver dans un instant avec notre invité.
- Et puis si vous souhaitez joindre le standard, c'est 0826 300 300 sur Sud Radio. A tout de suite avec notre invité.
- Alexis Poulin, sans réserve, l'invité.
- Et notre invité, comme je le disais, le général François Chauvency, consultant géopolitique, rédacteur en chef à la revue de défense de l'IHEDN.
- Bonjour, général.
- Bonjour.
- Alors avec vous, je souhaitais évoquer déjà la situation à Gaza. On la connaît maintenant depuis quelques mois.
- Mais le Liban maintenant est ciblé, enfin le Hezbollah plus particulièrement, est ciblé par l'armée israélienne.
- On a vu d'abord l'attaque étonnante des pagers trafiqués. Et puis maintenant, ce sont des bombardements plus classiques.
- Ils font à nouveau des victimes civiles. La diplomatie française à l'ONU a essayé de dire « touchez pas au Liban ».
- Il va falloir voir autre chose. Du côté israélien, Benjamin Netanyahou ne répond pas aux appels au cessez-le-feu à la fois des États-Unis et des Français, et de l'Union aussi des pays arabes. Est-ce qu'il y a un risque d'escalade ? Où en est-on aujourd'hui sur cette situation libanaise ? Il y a toujours un risque d'escalade dans ce type de conflit.
- Mais dans la mesure où aucun des belligérants ne veut faire un effort pour finalement empêcher une extension du conflit, effectivement, le risque existe.
- Bon, à la date d'aujourd'hui, qu'est-ce qu'on pourrait dire ? On pourrait dire que vers le Liban, je pense que Netanyahou a décidé effectivement d'affaiblir durablement le Hezbollah, qui n'a pas compris qu'il fallait arrêter d'agresser Israël.
- Ça, c'est très clair.
- Alors, l'affaire des pagers est intéressante, parce qu'effectivement, c'est une innovation dans la guerre.
- On peut dire que c'est ce que l'on veut.
- Ce sont ces petits...

Transcription générée par IA

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