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La voiture, ennemi public numéro 1 ?


Au programme de l'émission du jour : Les premiers pas du gouvernement Barnier / le Proche Orient proche de l'embrasement ? / La voiture, ennemi public numéro 1 ?

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Et on est ensemble jusqu'à 14h sur Sud Radio pour cette nouvelle édition de Poulain sans réserve. On va parler aujourd'hui des premiers pas du gouvernement de Michel Barnier avec notre invité Benjamin Morel, politologue et maître de conférences en droit public. On va parler évidemment de la situation au Moyen-Orient et notamment au Liban, en Iran, en Israël, avec David Rigouleros, chercheur associé à l'IRIS, rédacteur en chef de la revue Orient Stratégique qui sera avec nous par Zoom.
- Et puis en deuxième partie d'émission à 13h, on va parler de la voiture, les voiturophobes, ceux qui en veulent vraiment à la voiture, avec François-Xavier Pietri qui est un journaliste et qui sort un livre « Rendez-nous la liberté de rouler ». Si vous souhaitez nous contacter, vous pouvez poser vos questions ou réagir. 0826 300 300, le standard de Sud Radio. A tout de suite.
- Alexis Poulain, sans réserve, l'invité.
- Trois priorités. Élever le niveau, élever le niveau, élever le niveau. C'est ça la priorité.
- Alexis Poulain, sans réserve, l'invité.
- Et notre invité, c'est Benjamin Morel, politologue, maître de conférences en droit public à l'université Paris 2. Bonjour.
- Bonjour.
- Alors, vous êtes avec nous par téléphone pour parler des premiers pas du gouvernement Barnier.
- On a eu cette semaine la déclaration de Politique Générale, une interview à la télévision publique, et puis des déclarations, l'heure est grave, le budget, comment faire, vu ce que récupère Michel Barnier.
- À votre avis, y a-t-il des solutions ou est-ce là des gesticulations difficiles pour Michel Barnier et son équipe ? Alors, est-ce qu'il y a des solutions économiques ? Je serais bien en peine de vous répondre.
- Je ne suis pas économiste. En revanche, politiquement, le jeu de...
- Michel Barnier est un jeu qui, pour l'instant, est relativement habile.
- Il faut voir qu'au sein de cet hémicycle, personne n'a vraiment intérêt, pour l'instant, à la chute de Michel Barnier.
- La majorité présidentielle, l'ancienne majorité présidentielle, est prise dans une impasse stratégique.
- Les LR sont sous-euphorisants, avec 40 députés, ils ont Matignon.
- Le RN a plutôt intérêt à cette situation parce que ça lui permet de désactiver, peu à peu, le Front républicain, tout en aménageant la période médiatique compliquée du procès de Marine Le Pen.
- Quant à la gauche, elle se retrouve unie contre...
- contre ce gouvernement et contre une politique d'austérité qu'évidemment, elle aura beau jeu de dénoncer.
- Donc, dans ce cadre-là, Michel Barnier donne ce qu'il faut aux différents groupes qui ne le soutiennent pas.
- Il leur donne des raisons pour ne pas le censurer.
- Par exemple, quand vous écoutez les signaux envoyés au RN, en fait, fondamentalement, il n'y a pas grand-chose, en tout cas, pas grand-chose de crédible.
- Marine Le Pen avait besoin d'une raison, d'un alibi pour ne pas censurer Michel Barnier.
- Ce qu'elle a trouvé dans le cadre de ce discours politique général, annonçant qu'elle ne censurait pas.
- Donc, pour l'instant, c'est...
- Alors, ça peut tenir.
- Michel Barnier envoie des signaux extrêmement clairs...

Transcription générée par IA

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