Retranscription des premières minutes :
- SUDRADIO, midi 14h, Maxime Liedot sans réserve.
- Avant qu'on rentre dans le vif du sujet, j'aimerais quand même qu'on reparle de ce qui se passe du côté, vous savez, des comités, des comités qui servent à rien en France, avec la nomination de Dominique Voinet, nommée au comité pour la transparence et l'information sur la sécurité nucléaire.
- Vous s'en souvenez peut-être parce que, si vous voulez, ça fait des années, en réalité, qu'on l'observe, des années qu'elle parle dans les médias avec une influence politique considérable pour dénoncer le nucléaire.
- Elle se vantait même d'avoir saboté cette énergie propre, résultat qui a payé les patrons, l'industrie française, nous, bien sûr, évidemment, consommateurs, et ça continue.
- Ça fait deux jours qu'on en parle, mais ça continue de faire réagir, notamment aux politiques. Antoine Armand, c'est lui qui avait dirigé la commission sur l'énergie nucléaire.
- Il est stupéfait de cette nomination. Ancien ministre de l'économie, il nous dit, mais écoutez, j'espère que c'est une blague, parce qu'en réalité, on l'avait interrogé.
- Non seulement elle s'était vantée d'avoir saboté une nucléaire, mais en plus, elle ne comprend rien à rien.
- François de Rugy, ancien écolo, a ouvert sa chaîne YouTube et il explique, si vous voulez, comment depuis des années, les écolos, mais aujourd'hui, en réalité aussi, les dirigeants de gauche, sabotent nos intérêts majeurs.
- Parce que c'est une idéologie.
- C'est cette idéologie qui, depuis des années, met en péril l'industrie, met en péril notre compétitivité.
- Donc, soyons clairs, ce haut comité n'est qu'une énième coquille vide, bien sûr, mais c'est un comité, comme on en fait tant, mais qui a aussi le choix, si vous voulez, des dernières élections.
- Donc oui, mesdames, messieurs, quand on fait des élections, quand on vote, il faut assumer le choix.
- Donc on peut le regretter, mais c'est comme ça.
- Voter aujourd'hui en France, non, ce n'est pas anecdotique, ça a des conséquences et que voulez-vous, on en paye tous le prix.
- Et si je vous parle de sabotage en réalité ? Si je vous parle de nucléaire, vous allez voir que ça va être au cœur de cette émission à partir de 13h.
- Parce qu'à 13h, on va s'interroger sur la guerre économique.
- Elle est partout en France.
- L'industrie, l'énergie, nos intérêts fondamentaux.
- Alors qu'on parle de défense, figurez-vous que nos intérêts stratégiques sont en train d'être rachetés par des entreprises étrangères.
- On va avoir ce long débat et j'attends vos appels au 0826 300 300.
- On sera avec Eric Delbecq, ça fait des années qu'il écrit sur ces sujets.
- Et le directeur général de Vortigen, Paul Asibert, qui, lui, travaille dans l'ombre pour ces grandes entreprises.
- Il viendra décrypter tout ça avec nous.
- Et puis, dans une grosse demi-heure, la loi narcotrafic, elle est au cœur de tous les débats.
- Et on va se demander, est-ce en réalité quelque chose de considérable, une avancée majeure pour lutter contre la drogue ? Ou est-ce encore un énième débat ? On va en discuter avec une voix célèbre du barreau de Paris, Maître Jean-Yves Le Born.
- Il a écrit un livre, Liberté coupable.
- Il s'interroge sur cet équilibre entre lutte nécessaire contre le crime et la liberté de nous, Français, qui est souvent abordée par les politiques.
- Mais dans un instant, juste après la pub, où est passé notre système de soins ? Où est-ce qu'il est passé ? Les hôpitaux sont désormais payants.
- Ça nous coûte un fric fou.
- Nous avons dégringolé dans les classements des hôpitaux les plus performants dans le monde.
- On a quitté le top 10, mesdames, messieurs.
- Et je ne vous parle même pas des salaires qui sont en baisse, des heures d'attente aux urgences.
- Vous êtes sur Sud Radio.
- Et on revient dans quelques instants pour ce sommaire chargé pour un vendredi.
- A tout de suite.
- Sud Radio, midi 14h, Maxime Liedos en réserve.
- On est ensemble pendant 2h jusqu'à 14h pour aborder les sujets sans langue de bois avec les meilleurs invités du jour.
- Et j'ai le plaisir de recevoir en studio Gérald Kerzec.
- Bonjour.
- Vous êtes médecin urgentiste à l'hôtel Dieu de Paris.
- Et vous travaillez aussi du côté de Doctissimo.
- Je suis directeur médical de Doctissimo.
-...
Transcription générée par IA