Retranscription des premières minutes :
- « Sud Radio, midi 14h, Alexis Poulin sans réserve. » « La Commission européenne a sanctionné Apple et Meta. » « Les agents pénitentiaires ont été ciblés. » « Nous voulons que ça soit fait. Nous parlons de gens qui meurent. » « Menacés, on a tiré sur leur maison. » « Si pour une raison ou une autre, une des deux parties rend les choses difficiles, nous allons juste dire, vous êtes des imbéciles, vous êtes des personnes horribles. » « Si les Américains lâchent l'affaire, c'est débrouillez-vous. » « Je dis aux boulangers, attention. » « Au total, Jean-François Bander a été verbalisé à hauteur de 80 000 euros. » « À titre personnel, je suis prête à aller aider un boulanger bénévolement s'il en a besoin. » « Qu'est-ce que c'est que ça ? » « L'entreprise doit ouvrir, les salariés veulent travailler, on les sanctionne. Magnifique. » « J'appelle ça la France, un modèle. » « La France, oui, on va en parler. » « On va en parler d'abord de l'Union européenne, entre ArcelorMittal qui ferme les usines et les sanctions pour les GAFAM. » « L'Union européenne qui met les GAFAM à l'amende. » « Ce sera avec Ludovic. » « Ludovic Malot, dans un premier temps, qui sera notre invité entrepreneur et économiste, auteur du « Suicide monétaire » aux éditions Maya. » « Ensuite, on va parler, bien sûr, de ces attaques de prison qui se multiplient et la réponse du gouvernement qui se fait attendre avec Barbara Jouvenot, responsable communication d'Alliance Police. » « Et puis, à 13h, on parlera Ukraine avec Régis Le Sommier, reporter de guerre, directeur de la rédaction d'Omerta, pour voir où sont les pourparlers de paix. » « Et puis, l'édito, ce sera sur le 1er mai, la fête des travailleurs et les boulangers. » « Vous allez voir, c'est assez étonnant, mais c'est la France, comme on le disait dans le générique. » « 0800 26 300 300, si vous souhaitez réagir, posez vos questions. » « On est ensemble sur Sud Radio jusqu'à 14h. A tout de suite. » « Alexis Poulin, sans réserve, l'invité. » « Et notre première partie, on va parler, bien sûr, de cette guerre commerciale, guerre des tarifs douaniers lancée par Donald Trump, avec la réponse de l'Union européenne, avec Ludovic Malot, entrepreneur. » « L'économiste, auteur du suicide monétaire aux éditions Maya. Bonjour. » « Bonjour Alexis. Merci pour votre invitation. » « Merci d'être là avec nous. Alors, ça a occupé évidemment la une des médias pendant des jours et des jours, les fameux tarifs douaniers de Donald Trump. » « Et puis, marche in arrière, retour, délit d'initié. Que fallait-il penser des déclarations de Donald Trump ? » « Est-ce que c'était un coup d'essai ? Est-ce que c'était quelque chose de mal préparé ? Ou est-ce que c'était sciemment préparé au contraire ? » « Je pense que c'était sciemment préparé. » « Sciemment préparé. Donc, Donald Trump a dégainé comme il se doit. Et il en avait déjà parlé dans sa campagne. Donc, il n'y a rien de surprenant. » « Ceci dit, je pense qu'il faut voir ça pas comme une guerre commerciale, mais comme la fin d'un ordre économique. » « Je l'avais déjà précisé. Où en fait, les règles de l'OMC sont totalement remises en cause par les États-Unis. » « D'ailleurs, préparées par... » « Pascal Lamy dans les années 90. Et qui ont complètement exposé les économies du monde entier à tout ordre d'importation sans aucune règle pour faciliter les multinationales et les intérêts privés. » « Et surtout la Chine. C'est beaucoup la Chine qui a profité de ces règles du libre-échange et qui a fait le miracle chinois. Et aujourd'hui, Donald Trump voudrait mettre un holà à cette mainmise de la production chinoise sur le monde entier. » « Absolument. Je pense qu'ayant moi-même travaillé aux États-Unis, j'ai bien constaté que de nombreux secteurs ont été laminés par des importations chinoises à Bakou, qui a conduit à une désindustrialisation et à une délocalisation massive. » « Et cette délocalisation massive a eu des conséquences dramatiques...
Transcription générée par IA