Retranscription des premières minutes du podcast :
- C'est un an avant, c'est un simple an avant.
- Sud Radio, la radio du rugby.
- Vous êtes une million, vous êtes charmante.
- Vous voyez ce que ça fait déjà ? Un million, l'Armina.
- Où est l'argent ? Où est l'argent ? En fait, je viens retirer de l'argent.
- Amis, ouvrez vos coeurs.
- N'en ayez pas peur.
- L'argent ne fait pas de bonheur.
- Shut up and take my money.
- On va parler de 2025.
- On est déjà dans le futur sur Sud Radio.
- Puisqu'on attaque aussi cette année 2025, cette année rugby avec la première émission de l'année tout simplement.
- Avec Philippe, on va essayer de dresser quels sont les grands enjeux.
- Qu'est-ce qu'il va falloir surveiller ? Quels objectifs il va falloir atteindre ? Mais avant toute chose, Philippe, qu'est-ce qu'on peut faire comme bilan économique pour le rugby en 2024 sur la scène internationale et en France ? En démarrant par la France, le bilan est quand même plutôt très positif dans le rugby professionnel.
- D'abord.
- Parce qu'on a vu une affluence moyenne des stades augmenter de façon assez considérable.
- Encore plus de 12, près de 15% d'augmentation depuis le début de la saison en termes d'affluence.
- Avec en plus des stades à guichets fermés très régulièrement comme La Rochelle, Toulouse, qui offrent des perspectives encore plus intéressantes en termes de potentiel de spectateurs à l'avenir.
- La Rochelle qui va d'ailleurs faire son centième guichet fermé demain.
- C'est incroyable.
- C'est incroyable ce que réalise La Rochelle, ce que réalise l'UBB aussi en termes d'affluence moyenne.
- Et puis, bien sûr, Toulouse derrière, qui fait partie de ce wagon qui tire cette affluence vers le haut de façon assez incroyable.
- Donc ça, c'est le premier bilan.
- Ensuite, le deuxième bilan, c'est la consolidation de la valeur de la Ligue nationale de rugby avec cette négociation réussie, cette renégociation des droits avec le partenaire historique Canal+, avec une hausse de plus de 15% dans cette renégociation qui va permettre d'asseoir un peu la stabilité économique, d'envoyer...
- Il y a plus d'argent au club de Top 14 et de Pro D2 pour sécuriser leur modèle économique.
- Donc on peut dire que malgré un niveau de perte cumulé...
- Philippe, moi, je vois du très positif pour le Top 14.
- Tu vas nous donner le chiffre dans un instant.
- Mais par contre, on a une fédération qui est en cure d'austérité.
- Oui, c'est un peu le paradoxe.
- C'est-à-dire que c'est un peu l'inverse de ce qui se passe en Angleterre.
- Et on reviendra tout à l'heure sur la vision mondiale de ce qui s'est passé en 2024.
- Mais pour ce qui concerne la France, en effet, le rugby professionnel qui va plutôt bien, qui en plus adopte des mesures qui vont dans le sens de la raison, de l'équilibre entre les équipes, de la compétitivité.
- Donc c'est plutôt de bon augure.
- Les voyants sont au vert.
- Du côté de la fédération, c'est beaucoup plus critique.
- Les mauvaises nouvelles se sont accumulées.
- On est...
Transcription générée par IA