Retranscription des premières minutes du podcast :
- « Sud Radio, comment va la planète ? » « Bonjour Morad Aïtabouche ! » « Bonjour Jean-Marie ! » « Réalisateur de la série « Ça le temps pour la planète », ça c'est sur France 5.
- Chaque semaine sur Sud Radio, vous nous emmenez quelque part sur le front du changement climatique à la rencontre de ceux qui se battent et qui ont la pêche. » « Alors justement, où vais-je vous emmener pour savoir comment se porte notre belle planète ? On va prendre un peu le large ce matin pour prendre de bonnes bouffées d'air iodé.
- Allez, un petit indice ! » « Allez, allez, les bleus et blancs de l'aviron baïonné ! » « On est soit aux fêtes de Bayonne, soit à Jean d'Auger dans le stade de l'aviron baïonné ! » « Eh bien, pas du tout ! On est chez l'ennemi juré des baïonnais ! Mais on est au Pays Basque, ou au stade de France.
- D'ailleurs, on a vécu de très très beaux moments ces dernières semaines.
- Non, je vous emmène à Biarritz.
- Et pour être plus précis, à quelques pas du phare qui se dresse à l'extrémité du Cap Saint-Martin.
- Le décor est posé, mais suivez-moi dans mes pérégrinations.
- Accrochez-vous, car on est sur le bord de la falaise, et ça fait froid dans le dos.
- Si vous avez le vertige, passez votre tour.
- On est à 50 mètres environ en surplomb de la mer.
- Voilà, on y est. C'est un joli jardin.
- Ambiance bucolique, sauf qu'il est évidemment suspendu à deux doigts du vide.
- « Je suis sur le bord de la falaise. » « Jusqu'ici, tout va bien. Jusqu'ici, tout va bien. Jusqu'ici, tout va bien. » « On a reconnu la réplique culte du film La Haine le plus dur, c'est ? » « La chute. » « Exactement. Rassurez-vous, il y a un risque comme partout sur le littoral. Jusqu'ici, tout va bien. » Évidemment, Pierre Chevalier, lui, c'est un ancien an de balleur professionnel.
- C'est le propriétaire du jardin et de la maison qui se trouve derrière.
- Lui, kiffe chaque moment passer là-haut à 50 mètres.
- Au-dessus des vagues.
- « C'est pour ça qu'on a craqué, il y a quelques années, quand on a eu l'opportunité d'acquérir un bien comme ça. » Il débarque ici en 2013. Parce qu'elle est au bord de la falaise, la villa, il va l'acheter huit fois moins cher que sa valeur réelle.
- Une belle affaire.
- « Alors c'est forcément ici qu'on se rend compte des deux aspects.
- Vous voyez une sorte, je ne sais pas si on peut l'appeler des arches.
- C'est que la moitié de la maison, en fait, est partie à l'océan.
- Alors je crois que c'est en 1960. » « Il y a quand même quelques années, on a perdu la moitié de la maison dans sa profondeur, dans sa largeur. » Le plus dur, ce n'est pas la chute, mais l'atterrissage.
- On l'a...
Transcription générée par IA