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France-Israël : "Israël n'a pas tiré une seule fois. Au moins ça change"


Guy Carlier revient sur le match France-Israël : "Israël n'a pas tiré une seule fois. Au moins ça change"

Retranscription des premières minutes du podcast :

- Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
- Guy Carlier est avec nous, bonjour Guy.
- Bonjour Arlette.
- Comment ça va Guy ? Ça va très bien.
- Le vendredi, je vous trouve en forme, vous êtes bien ? Oui.
- Vous avez écouté la semaine, vous nous retrouvez, comme chaque vendredi évidemment, vous retrouvez Arlette Chabot.
- Avec une émotion renouvelée.
- Renouvelée chaque semaine.
- C'est vrai en plus.
- Dites-nous ce qui vous a marqué cette semaine mon cher Guy.
- Eh bien cette semaine se présentait sous les meilleurs auspices puisqu'elle débutait par un jour férié, le 11 novembre, associé à l'armistice.
- Ah, quel mot magnifique l'armistice, qui symbolise la fin des hostilités, qui nous fait penser à cette magnifique chanson interprétée à trois voix par Félix Leclerc, Gilles Vigneault, Robert Charlebois.
- Quand les hommes vivront d'amour, ce sera la paix sur la terre.
- Les soldats seront troubadours.
- Oui, alors là il faut que je vous informe, c'est Patrick Roger qui a mis en place ce signal.
- C'est quoi ? C'est une sirène ? Car il souhaite absolument que cette chronique soit ponctuée de punchlines humoristiques, afin, dit-il, de détendre l'auditeur.
- Mais ça ne détend pas l'auditoire une sirène.
- Les pensées humanistes, c'est bien beau, dit-il, mais pas à 8h10 alors que l'auditeur qui vient de Séville est assis à la table du petit déjeuner et essaye de déchiffrer la composition de ses chocs.
- Fille qui figure sur la boîte de céréales.
- Bon, alors, je reprends ma chronique, depuis le début, sous l'angle rire et chanson.
- La semaine partait bien, puisqu'elle a débuté par un jour férié, le 11 novembre.
- C'est le jour de l'armistice, le jour où l'on rend hommage aux poilus.
- Et j'espère, amis auditeurs, que vous en avez profité pour rendre hommage aux poilus qui vous sont chers.
- Oui, je sais, c'est affligeant.
- J'ai honte devant Arlette Chabot, qui a côtoyé des hommes politiques d'une autre tenue.
- Si l'on excepte Dominique Strauss-Kahn, pour qui c'était 11 novembre chaque jour, puisqu'il rendait hommage à tous les poilus qui passaient.
- Oublions donc le 11 novembre, venons-en à l'autre événement marquant de cette semaine que constituait ce match France-Israël, dont vous a parlé Arlette tout à l'heure.
- Que dire de plus ? Hier soir, à Saint-Denis, dans le Stade de France, on pensait à Céline au voyage au bout de la nuit.
- Ah oui, pardon, pardon.
- Je suis parti dans la citation.
- Et Patrick Roger a bien raison de me remettre dans le droit chemin de l'humour fin et délicat.
- Et ça, on peut dire...
- Alors bon, on peut dire qu'hier, lors du match, Israël n'a pas tiré une seule fois.
- Au moins, ça change.
- Oui, je sais, la vanne est nulle, mais je rends grâce à Patrick Roger de m'obliger à la faire.
- Car sinon, je vais me mettre en colère et infliger à cette matinale une ambiance délétère.
- Car oui, je suis en colère.
- Je suis en colère, après l'équipe de France, de nous avoir infligé ce spectacle habituel depuis...

Transcription générée par IA

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