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Par avec Nicolas GT, Nicolas Lacroix, Victoria Pianasso

Le deuxième jour de Sud Radio en Direct du Festival Off d’Avignon


Rendez-vous pour le deuxième jour en Direct du Festival Off d’Avignon
Les invités

Retranscription des 1ères minutes du podcast :

- Sud Radio, 19h-20h, Christophe Méian, en direct du Festival OV d'Avignon.
- Désolé les amis, je suis un petit peu en retard, j'étais à la grande parade pour l'ouverture du Festival, vous le savez.
- Cet après-midi, plus de 1000 artistes ont déambulé dans les rues d'Avignon, une foule en délire, des gens qui applaudissaient.
- Et je viens de terminer, donc je vais rejoindre d'ici quelques instants le Théâtre des Vents où le studio Sud Radio est installé sur la terrasse.
- Et j'arrive dans quelques instants, j'arrive dans quelques instants.
- Ouais, dépêche-toi Christophe, sinon tu vas perdre ton émission là, dépêche ! Je vais perdre quoi ? Ouh là là, il faut que je me dépêche, oh mon Dieu ! Mind toi ! J'ai pas le temps monsieur, j'ai pas le temps, j'ai pas le temps, j'ai pas le temps, j'ai pas le temps ! Allez ! Oh j'ai fait vite ! Oh wow ! Ça va, t'es pas trop essoufflé ? Un petit peu.
- J'en peux plus.
- Tu as un petit pacalo pour te désaltérer ? J'ai beaucoup mieux.
- Le parcalo c'est trop bon, le parcalo c'est trop bon, le parcalo c'est trop bon.
- Elle est sympa cette chanson non ? Très sympa.
- Le parcalo c'est trop bon, on l'a écrite hier après-midi je vous assure.
- C'est le tube de l'été.
- Le tube de l'été, bonsoir et bienvenue sur Sud Radio, je suis ravi d'être avec vous, vous le savez.
- Nous sommes ici sur la terrasse du Théâtre des Vents.
- Jusqu'au 22 juillet, tous les soirs promis pendant 60 minutes du rire, de la découverte, de l'humeur, de la bonne humeur et surtout des invités qui nous ont donné beaucoup de joie quand on a été découvrir sur scène.
- Et ce soir, ils seront 4, 4 artistes formidables que j'ai eu l'occasion de découvrir il y a quelques semaines.
- Aujourd'hui, on a Victoria Pagnaccio et notre amie Thomas Jetté.
- Bonsoir.
- Hello.
- Comment ça va ? Ça va, super.
- Et j'ai une bonne nouvelle également.
- Une bonne nouvelle, Nicolas Lacroix, grande star belge, viendra nous rejoindre d'ici quelques minutes sur l'antenne de Sud Radio.
- Alors, pour vous expliquer un petit peu, le festival démarre officiellement demain.
- Nicolas est en train de régler les petits derniers détails de son spectacle.
- Donc, il reviendra nous retrouver d'ici quelques minutes.
- On va démarrer tous les trois.
- Parfait.
- Si ça vous va.
- Ça te va ? Vous n'avez pas le choix.
- Ça me va très bien.
- Victoria, jeune femme.
- Oui.
- Je peux répondre à cette question ? C'est la carte d'identité.
- Oui ? Oui.
- OK.
- Un âge ? 30.
- 30 ? Très récemment.
- Très récemment.
- Comment s'appelle le spectacle ? Reste simple.
- Oui, je voulais que tu nous le dises.
- Pourquoi rester simple, finalement ? Moi, j'étais un peu passionnée des grandes bandas et tout.
- Ça m'a toujours fascinée.
- Les Céline, les Beyoncé.
- Sauf qu'en fait, on n'a pas de budget.
- Donc, j'ai proposé un show à l'américaine avec un budget de Kermesse.
- Ça, c'est la baseline.
- Ce que je vous propose, c'est d'écouter un petit bout de son spectacle.
- Je me suis dit, Victoria, reste simple.
- Fais quelque chose de plus sobre, de plus intimiste, dans une petite salle, avec des petites gens.
- Bonsoir.
- T'es égoïste, Stéphanie, en fait.
- Je crois que tu réalises pas.
- Tu commences toutes tes phrases par « c'est marrant », mais après, c'est jamais marrant.
- Bon, tu veux voir quoi ? Pilou ! C'est une 16-64.
- On est en 1430.
- Moi, si j'étais un homme, je serais...
- payée plus.
- Excusez-moi, mais c'est votre enfant qui crie dans le Ouïgo depuis deux heures ? C'est l'enfant ? Les vrais défauts, pour moi, vous voyez, c'est comme les hémorroïdes ou les places pour la tournée d'adieu de Michel Sardou.
- Quand on en a, mieux vaut le garder pour soi.
- Moi, dès qu'on me pose la moindre question de calcul, je ne sais pas si c'est l'émotion, la panique ou les deux, mais j'entends le vent dans ma tête.
- Six fois vite.
- Alors, déjà, je vais te demander de patienter parce que je n'ai pas assez de doigts.
- Ça s'applaudit.
- Très bien.
- Victoria Pianasso.
- Victoria, Victoria.
- J'adore, il y a Marie-Antoinette qui passe.
- J'adore ce son droit.
- C'est formidable.
- Jusqu'au 21 juillet, 15h30.
- Oui, c'est ça, 15h30 tous les jours, relâche les lundis.
- Oui.
- Et ça se passe ? Ça se passe bien, c'est cool.
- C'est vraiment une ambiance qu'on adore parce qu'on retrouve les copains, on s'amuse, c'est comme une grande colo.
- On adore, mais on bosse quand même.
- Oui.
- Tu vois ? C'est à la Comédie d'Avignon.
- Oui.
- Très, très beau théâtre.
- Pas très loin d'ici, en fait.
- Non, c'est rue d'Élysse, donc c'est agréable.
- Vous serez bien assis et à la clim.
- Je sais comment parler à mon public.
- Ça a démarré comment pour toi, Victoria ? Le spectacle vivant ? Le spectacle ? Oui.
- Alors, moi, j'ai fait une école de commerce, donc pas du tout par cette voie-là.
- Et ensuite, je me suis tournée vers une école qui fait spécialiser dans le one, dans le seul en scène.
- Où ça ? J'ai fait ça, l'école du one man show.
- À Paris ? À Paris, c'est ça.
- Et j'ai fait ça deux ans, à parallèle de mon boulot.
- Voilà, donc je n'avais pas trop lâché.
- Et ensuite, je me suis concentrée, vraiment, j'ai tout lâché, quitté mon boulot et tout.
- Et j'ai écrit mon spectacle et je fais ça vraiment depuis trois ans.
- Et la bascule, elle est facile à faire ? Ou on se dit à un moment donné, oula, j'ai peut-être fait une bêtise.
- Ah, cette bascule-là, je veux dire de tout lâcher.
- De tout lâcher comme ça.
- Non, ce n'est pas facile.
- C'est pour ça que moi, je l'ai fait en plusieurs étapes.
- Donc d'abord, une école, parce que me lâcher toute seule dans le vide, j'avais peur.
- Et comme ça, tu es entourée, tu as des professeurs.
- Alors, c'est très...
- Les écoles, il...

Transcription réalisée par IA

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