Retranscription des premières minutes du podcast :
- Sud Radio, Vaux-à-Change, Anthony Martin-Smith.
- Un peu plus de 20h30 sur Sud Radio, merci d'être toujours aussi nombreuses et nombreux à nous écouter.
- Et les messages que nous recevons, eh bien, nous font du bien.
- On démarre tout de suite avec les changements à la une, Mathéo Lamblo.
- Agissons ensemble pour une société plus juste.
- L'association APF France Handicap présente...
- Sud Radio, les changements à la une.
- Le samedi 1er mars 2025, les changements à la une, Mathéo Lamblo.
- Ça s'agite du côté de Matignon.
- Le 11 février dernier, la ministre déléguée aux personnes en situation de handicap, Charlotte Parmentier-Lecocq, a annoncé la nécessité d'accélérer sur la question de l'accessibilité.
- Un comité interministériel se réunira le 6 mars prochain.
- La ministre a précisé que la préoccupation du handicap pour le gouvernement a été clairement réaffirmée par le Premier ministre.
- Pour rappel, les fauteuils roulants seront remboursés à partir du 1er décembre.
- Les conférences de l'accessibilité, du tourisme et des mobilités indépendantes.
- Les conférences inclusives, suivies des trophées de l'accessibilité, se tiendront le 3 avril à Issy-les-Moulineaux.
- Les inscriptions sont d'ores et déjà ouvertes jusqu'au 21 mars sur le site internet 3avril.org.
- Les changements à la une avec Mathéo Lamblo.
- Agissons ensemble pour une société plus juste.
- L'association APF France Handicap vous a présenté...
- Sud Radio, les changements à la une.
- Les changements à la une, à retrouver chaque semaine sur Sud Radio.
- Dans Sud Radio, il faut que ça change.
- Aujourd'hui, c'est une journée particulière.
- C'est le 8 mars 2025.
- C'est la journée de la femme.
- On a aujourd'hui voulu mettre les femmes à l'honneur, mais pas sur le prisme de l'égalité entre les hommes et les femmes, mais bien sur le principe d'équité.
- A considérer que la femme, dans sa physionomie et physiologie, elle a des besoins que l'homme n'a pas.
- A commencer par les maladies qu'elle peut connaître à travers sa vie.
- Et c'est...
- Sur cet angle-là, qu'on a voulu travailler cette émission, qu'on a décidé de baptiser Gaëlle et toutes les autres.
- Gaëlle, c'est une jeune femme qui, eh bien, était remarquable.
- Était parce que, malheureusement, elle n'est plus.
- Elle a été arrachée à la vie du fait d'un cancer du sein.
- Et on a voulu lui dédicacer cette émission à elle, et évidemment, à toutes les autres.
- Un plateau, évidemment, de très grande qualité.
- J'en suis très heureux.
- Je vais dire bonjour, eh bien, à vous, Daphné Rubin.
- Bonjour, vous êtes responsable de la collecte électronique de l'Institut Gustave Roussy.
- Vous avez, évidemment, une grosse spécificité sur la cancérologie du sein.
- Et vous travaillez sur les dossards solidaires pour le Marathon de Paris.
- À vos côtés, Albane Bunel, bonjour.
- Bonjour, merci de me recevoir.
- Vous êtes kinésitaire un peu, spécialisée en cancérologie du sein.
- Et vous allez courir sous ce dossard solidaire au Marathon de Paris le 13 avril prochain.
- Emmanuel Dalseco, bonjour.
- Vous êtes journaliste et chroniqueuse en émission.
- Bonjour.
- Merci d'être là.
- Et puis, par téléphone, nous avons déjà une collègue, Judith Bélair.
- Bonjour.
- Bonjour, bonjour, Anthony.
- Vous êtes animatrice.
- On vous connaît bien ici, sur Sud Radio, puisque vous présentez cet excellent le dimanche soir à 19h.
- Et puis, Destin de Femmes, à 13h30 le samedi.
- On va y revenir juste après.
- Je dis bonjour à Salim Ejnaïni.
- Bonjour, Salim.
- Bonjour, Anthony.
- Bonjour à toutes et tous.
- Vous avez aussi connu cette fameuse Gaëlle dont je parlais juste à l'instant.
- Et vous avez également, enfin, nous avons également Claire Chara-Bruneau.
- Bonjour.
- Vous êtes oncologue spécialisée en cancérologie du sein et responsable du parcours de soins sains et handicap à l'Institut de cancérologie de Lorraine.
- On va en reparler tout à l'heure.
- Judith, Destin de Femmes, c'est tous les samedis à 13h30.
- Oui.
- Qu'est-ce qui a motivé cette création d'émission ? Alors, en fait, c'est le manque de représentativité des femmes en général et surtout des femmes incarnées.
- Le manque de représentativité de manière positive, c'est-à-dire de femmes qui ne subissent pas, mais qui prennent leurs décisions avec la volonté et le savoir-faire en général.
- Voilà.
- Ce sont des femmes qui ont des doutes, comme nous tous, les humains, sur leur chemin, qui vraiment s'incarnent et se font du bien en s'incarnant...
Transcription générée par IA