Le GIGN, appelé pour libérer un homme enlevé et séquestré mercredi dans la Nièvre, a dû annuler son intervention après la diffusion d'information sur Facebook par la presse locale, rapporte nos confrères du journal Ouest France.Le groupe d'intervention d'élite de la gendarmerie avait déployé un important dispositif dans le centre de Nevers mercredi après-midi. Les enquêteurs pensaient avoir identifié l'habitation où se trouvaient les ravisseurs du jeune homme de 23 ans, enlevé la nuit précédente.
L'homme retrouvé sain et sauf
"Ce dispositif a été mis en échec notamment par les fuites de la presse locale transmises par Facebook et qui sont arrivées jusqu’à une des personnes interpellées", a expliqué le parquet de Nevers qui rappelle le danger de publier ces informations sans son accord.Le jeune homme, à qui les ravisseurs réclamaient de l'argent, a pu finalement être récupéré le soir même à la gare de Nevers, selon Ouest France. Un homme aurait été interpellé.