Le dimanche 9 mars 2025 à 10h05, TF1 diffuse : "Automoto spécial 50 ans !", présenté par Jean-Pierre Gagick.
Jean-Pierre Gagick : "On va parcourir les cinq dernières décennies à travers les autos et les motos qui ont marqué ces époques"
Qu’est-ce qu’on va voir dimanche ? "On a fait une émission au circuit du Castellet. Parce que c'est un endroit évidemment très mythique et symbolique pour les sports méca français. Il nous fallait un parrain, et on a choisi Sébastien Loeb, neuf fois champion du monde des rallyes, qui a gentiment accepté l'invitation. Et ce qui est intéressant avec Sébastien, c’est que c'est un motard très, très accompli. Vous allez le voir : on l'a fait rouler sur une Yamaha R1 de course. Je l'ai vu rouler de mes yeux, et franchement, je peux vous dire que, tout l’équipe, nous avons été scotchés par le niveau de Sébastien Loeb en moto. Donc, dans cette émission, on a vraiment essayé de parcourir les cinq dernières décennies à travers les autos et les motos qui ont marqué ces époques, avec bien sûr des extraits des archives des émissions d'époque aussi", a fait savoir Jean-Pierre Gagick.
"Avec 'Turbo' on se tire la bourre, c'est une saine concurrence, mais on s'entend très bien"
Selon Jean-Pierre Gagic, qu’est-ce qui distingue "Automoto" de "Turbo" ? "Première chose, on nous pose souvent la question, - on connaît très bien les gens de chez 'Turbo', on est amis, je connais très bien Dominique Chapatte, évidemment tous les journalistes. Il y a une très bonne entente entre nous. Évidemment, on se tire la bourre, c'est une saine concurrence, mais on s'entend très bien. Je ne me permets pas de juger le contenu de turbo, mais on a peut-être un rythme un peu plus rapide que Turbo, qui est une émission un peu plus longue que la nôtre. Des choix de sujets un petit peu différents. Nous, on fait un peu plus de sport que Turbo, parce que ça a toujours été dans l'ADN d''Automoto' de suivre les compétitions sportives. On a aussi cette base d'essai à Mortefontaine, où on essaie les véhicules, qui nous sert de laboratoire pour les voitures qu'on a envie d'essayer et les voitures sportives qu'on a envie de chronométrer. Donc, je pense que les différences se font là."
"Les voitures chinoises ont un rapport qualité-prix assez incroyable"
Les voitures chinoises valent-elles le coup ? "En termes de rapport qualité-prix, c'est un peu comme tout ce qui vient de Chine, c’est en général moins cher. C'est produit avec des éléments qui sont sur place. On sait que tout ce qui est batteries, tout ce qui est composants, les semi-conducteurs, ça vient de Chine, ou en tout cas c'est maîtrisé par l'industrie chinoise, avec une main-d'œuvre qui est beaucoup moins chère que la nôtre, en Europe, et en Occident en général. Donc, ça explique évidemment en partie le fait que ces voitures sont beaucoup moins chères, qui ont un rapport qualité-prix assez incroyable. Nous, on commence à travailler sur des émissions avec les voitures chinoises, notamment avec Dacia. Dacia, qui est un peu la marque championne du rapport qualité-prix. Aujourd'hui, certaines voitures chinoises sont moins chères que les Dacia. Et, encore une fois, en termes de rapport qualité-prix, ce sont des voitures intéressantes", a répondu Jean-Pierre Gagick.
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