Maurice Barthélemy publie un livre composé de 416 pensées, "100 PENSÉES SANS PENSER".
Maurice Barthélemy : "J’adore un tout petit peu réfléchir et inversement"
"Ce sont des pensées qui reflètent qui je suis, c’est-à-dire une personne qui a un avis sur tout, et même sur ce qui ne l’intéresse pas. Il est destiné aux jardiniers, mineurs de fonds, chercheurs d’or et à celles et ceux qui cherchent du sens là où il n’y en a pas (et inversement). Il est conseillé de ne pas lire ce livre, mais d’y piocher", prévient l’auteur.
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"Ce livre est à mon image, je suis quelqu’un qui déconne beaucoup, qui adore un tout petit peu réfléchir et inversement. Ce livre est un mélange de tout ça : c’est parfois léger et parfois un tout petit peu profond", a déclaré Maurice Barthélemy à l’antenne de Sud Radio.
"Je m’efforce de poster quotidiennement mes pensées sur Instagram"
Quel type de pensées trouve-t-on dans ce livre ? "Si BHL livre, que fait BHL ?", "L’égo, c’est le moi. L’énorme égo, c’est le Moix", "Faire une demande d’asile aux USA, c’est demander l’internement de Trump", "Le vaccin financé par Bill Gates, c’est un antivirus", "Qu’est-ce qu’on fait ce week-end ? Il y a quoi sur Netflix ?"… "Une pensée est une évaporation de l’esprit, et c’est ma buée de secours", résume Maurice Barthélemy.
Comment Maurice Barthélemy fait-il pour noter ses pensées ? "Je les poste quotidiennement sur Instagram, et je m’efforce de les poster quotidiennement pour synthétiser la pensée du jour. C’est un bon exercice que je conseille à chacun", a répondu l’auteur.
"Aujourd’hui on ne peut plus faire grand-chose sans se faire assassiner sur les réseaux sociaux"
Tous les mardis à 21 heures, la chaîne Comédie+ diffuse "La Grosse émission", un grand plongeon dans les années déconne du début de la chaîne Comédie !, qui reste une référence en matière d’humour 25 ans plus tard. "On a bénéficié d’une période magique où il n’y avait pas Internet, du coup la dictature d’Internet était moins forte. Aujourd’hui on ne peut plus faire grand-chose sans se faire assassiner sur les réseaux sociaux si une vanne passe un peu de côté. À l’époque on n’avait aucune sanction", a commenté Maurice Barthélemy.
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Regrette-il le fait que cette époque soit révolue ? "Je ne regrette pas parce que je me suis beaucoup amusé à cette époque-là. Mais je trouve que ça tue l’humour d’être à ce point surveillé."
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