Sophie de Menthon anime l'émission "Patrons en questions" les lundis, mardis, mercredis et dimanches à 15h40 sur Cnews. Elle est rediffusée à 00h20. Le 18 décembre 2024, ce sera le 100ème numéro, avec Pierre Hermé.
Sophie de Menthon : "Les économistes sont très forts en macro-économie, mais il y en a plein qui ne savent pas ce que c'est qu'une boîte"
En qui cette émission est-elle unique ? "Nos auditeurs doivent le savoir : on a des plateaux indéfiniment avec des économistes. Excusez-moi, les économistes, ils sont très forts en macro-économie, il y en a plein qui ne savent pas ce que c'est qu'une boîte, une petite boîte, une PME, un commerçant. Et on les voit jamais, ces gens-là, ils ne commentent pas l'actualité", a déploré Sophie de Menthon.
Sophie de Menthon reçoit-elle des instructions de la direction de Cnews ou de la régie pub sur le choix des patrons à inviter ou pas ? "Des instructions, non, parce que vous me connaissez. Mais au début j'ai eu des réflexions. Parce que j'annonçais, et on me disais : 'Lui, il ne fera jamais de pub'. Et il y a quelqu'un de puissant dans l'entreprise qui a dit : ‘Plus jamais on ne vous parlera de ça’. D'ailleurs, la régie est formidable, elle est très sympa, elle m'avertit : 'Tiens, il y a un tel. il a fait de la pub'. Mais aucun rapport", a répondu Sophie de Menthon.
"Je ne le fais pas exprès, mais c'est vrai que ce sont des bonnes nouvelles"
Sophie de Menthon reçoit aussi des petits patrons… "Mais des petits patrons qui ont quelque chose à dire. Parce que sinon, les petits patrons, il y en a 2,5 millions. Mais c'est vrai que chacun a quelque chose à dire. Ce qui m'intéresse beaucoup dans cette émission, et il est vrai qu'on n'en parle jamais… c'est la personnalité du type. Il y a par exemple un grand patron qui disait : ‘Moi, j'ai fait de la course automobile. À 23-24 ans, je ne pensais qu'à ça’. Puis, à un moment donné, je me suis dit : 'Non, stop, ça suffit'. Ils ont tous une histoire personnelle. Et je crois franchement que c'est la seule émission qui ne parle que de leur énergie, de leur goût d'entreprise, du plaisir qu'ils ont.
Et ce qui m'a fait le plus plaisir, c'est quand à Cnews, il y a des gens qui passent derrière le studio, comme ici, et qui disent : ‘Oh là là, c'est la bonne humeur !’. Et je ne le fais pas exprès, mais c'est vrai que ce sont des bonnes nouvelles."
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