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À moins de trois semaines du premier tour de la primaire de la droite, Nicolas Sarkozy rattrape quelques points sur Alain Juppé dans le dernier baromètre de la primaire Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match. Le maire de Bordeaux est toujours donné gagnant au premier comme au second tour, mais la lutte s'annonce serrée.

Le député de l'Eure et candidat à la primaire de la droite a reconnu que le scrutin qui aura lieu le 20 novembre s'apparente, pour le moment, à un référendum pour ou contre l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy. Il souhaite éviter "un vote par défaut", pour ne pas recréer "la même déception qu'avec François Hollande".

Le sénateur PS de la Drôme et président du groupe socialiste au Sénat a rappelé que la courbe du chômage "était la condition" d'une candidature de François Hollande pour un nouveau mandat. Et pour lui, avec les bons chiffres publiés mardi, "l'inversion est là".

Le président de la République, s'il brigue un nouveau mandat, serait éliminé au premier tour dans tous les cas de figure. Et même s'il affrontait Marine Le Pen au second tour, François Hollande serait battu par la candidate frontiste.

Michèle Rivasi, députée européenne et candidate à la primaire EELV pour la présidentielle, s'est dit pour le démantèlement de la jungle de Calais, qui a débuté ce lundi, mais reproche la méthode du Gouvernement qui a été d'imposer plutôt que de discuter avec les maires prêts à accueillir des migrants.

La dernière vague du baromètre de la primaire de la droite Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match montre que l'écart se creuse fortement entre Alain Juppé et Nicolas Sarkozy. L'ancien président serait même battu de 22 points au 2e tour.

À l'origine d'un début de polémique, la petite phrase de Nicolas Sarkozy sur "nos ancêtres, les Gaulois" ne bénéficie que d'un crédit limité, tant parmi la population française que les sympathisants Les Républicains.

Une longue enquête Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match laisse apparaître une société fracturée, dans laquelle l'Islam est les immigrés ont du mal à trouver leur place. Pertes de repères, manque de confiance en l'avenir, inégalités sociales, autant de marqueurs qui influent sur la vision qu'ont les Français de la société dans laquelle ils vivent et qu'ils jugent sévèrement.

L'économiste et écrivain Jacques Attali a regretté que les primaires qui s'annoncent, tant à droite qu'à gauche, soient simplement des "primaires de candidats" et que les programmes, les projets et les visions à long terme pour le pays n'aient pas plus d'importance.

Henri Guaino n'a trouvé "aucun candidat convaincant" lors du premier débat de la primaire à droite jeudi soir. Et a défendu sa candidature à l'élection présidentielle, "contre le régime des partis".

Le sénateur-maire Front national de Fréjus, David Rachline, a tenu à rappeler la ratification, par Nicolas Sarkozy, du traité de Lisbonne, après le non au référendum de 2005, en référence à la promesse de l'ancien président de la République d'organiser deux référendums s'il est élu.

Le maire de Bordeaux l'emporterait avec 56 % des voix en cas de duel avec Nicolas Sarkozy, parmi les sympathisants Les Républicains. Un chiffre qui monte même à 72 % parmi l'ensemble de la population française, d'après le dernier tableau de bord des personnalités politiques Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match.

Le vice-président de l'UDI Louis Giscard d'Estaing a jugé "irréalisable" la promesse de Nicolas Sarkozy d'organiser deux référendums s'il est élu et a soutenu Alain Juppé, "homme d'expérience et de dialogue" en vue de la primaire de la droite.

Pour lutter contre le terrorisme, le député de la Haute-Marne et président du conseil national des Républicains a appelé à une "unité sans faille", jugeant qu'actuellement, "c'est l'urgence partout, mais il n'y a pas beaucoup d'Etat".

La sénatrice UDI de Paris, Chantal Jouanno, si elle reconnait des bienfaits au non-cumul des mandats, a tenu à alerter sur la question du statut de l'élu et l'avenir des politiques une fois leur carrière publique terminée.

La sénatrice UDI de Paris a rappelé qu’elle n’a pas pris position pour un candidat de la primaire de la droite et se tiendra à la prise de position du parti. Un parti qui, confie-t-elle, aura bien du mal à suivre Nicolas Sarkozy si celui-ci l’emporte.

François Kalfon, conseiller régional d'Ile-de-France et directeur de campagne d'Arnaud Montebourg, critique "les primaires de la droite extrême" et juge que "Jean-Christophe Cambadélis se comporte en agent électoral de François Hollande".

Le ministre de l'Aménagement du territoire, de la Ruralité et des Collectivités territoriales a laissé la porte ouverte à des négociations pour aider les départements, mais a regretté la position de certains présidents de conseils départementaux, qu'il considère plus "politicienne que politique".

La secrétaire d'Etat chargée de la biodiversité, Barbara Pompili, s'est montrée critique envers son ancien parti, EELV, qui "ne fera rien gagner à l'écologie politique, mais qui pourrait faire perdre la gauche". Elle préfère apporter son soutien à François de Rugy, candidat à la primaire organisée par le Parti socialiste, pour que "l'écologie pèse par la suite".

Le sénateur de la Drôme et président du groupe socialiste au Sénat a assuré de la sincérité du budget 2017, présenté mercredi par Michel Sapin, alors que le Haut conseil des finances publiques a douté du réalisme des objectifs fixés, notamment en termes de déficit public.

Alain Juppé sortirait vainqueur de la primaire à droite selon un dernier sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match. Le maire de Bordeaux devancerait Nicolas Sarkozy au premier comme au second tour, mais l'ancien président reste largement majoritaire parmi les sympathisants Les Républicains.

Le président Les Républicains de la région Pays de la Loire, Bruno Retailleau, a dénoncé la "politique de dilution de la jungle de Calais" et critiqué le déplacement du chef de l'Etat dans le Nord, ce lundi, qu'il considère n'être qu'une simple opération de communication.

Le députée européenne et maire du 7e arrondissement de Paris a défendu l'idée qu'une "nation se construit sur un récit national" et a fustigé les critiques d'Alain Juppé sur "la nullité du débat" autour des ancêtres gaulois lancé par Nicolas Sarkozy.

Le président du Sénat et sénateur des Yvelines, Gérard Larcher a appelé à "s'occuper des migrants avec humanité et objectivité". Ce qui passe, selon lui, par le démantèlement de la jungle de Calais et la renégociations des accords du Touquet avec la Grande-Bretagne.

L'enveloppe dévolue aux contrats unique d'insertion est à la baisse. Conséquence, leur nombre diminue considérablement au 2e semestre 2016. Certains centre Pôle Emploi ne les proposent même plus.

Le secrétaire général du Parti communiste et sénateur de Paris, Pierre Laurent, a appelé à "une candidature de rassemblement de la gauche", pour éviter que l'Assemblée nationale ne "ressemble au conseil régional de PACA, où la gauche a disparu".

Le député Les Républicains des Hauts-de-Seine, Thierry Solère, a critiqué la situation dans les prisons, où "il y a des portables partout" et regretté que le Gouvernement attende la fin du quinquennat pour s'attaquer au problème de la surpopulation carcérale.

Le secrétaire d'Etat chargé de la réforme territoriale et de la simplification, Jean-Vincent Placé, a reconnu un bilan mitigé de la gauche au pouvoir depuis 2012. Et fustigé les déclarations de Nicolas Sarkozy sur le réchauffement climatique.

Benoît Hamon, député PS des Yvelines et candidat à la primaire socialiste a pointé les lacunes de François Hollande à rassembler à la gauche et dénoncé l'agressivité de Manuel Valls. Pour lui, "on ne peut pas tout le temps être dans le déni en disant que c'est de la faute des autres".

Le député Les Républicains de Charente-Maritime, Dominique Bussereau, a répété sa préférence pour Alain Juppé en vue des primaires à droite et a tiré la sonnette d'alarme quant au manque de moyens des départements pour verser le RSA.

Alain Juppé est toujours en tête du tableau de bord des personnalités politiques Ifop-Fiducial pour Sud Radio et Paris Match du mois de septembre 2016, devant François Bayrou et Jean-Pierre Raffarin. Si Emmanuel Macron bénéficie d'une popularité plus forte que François Hollande ou Nicolas Sarkozy, il serait battu en cas de duel avec le maire de Bordeaux.

La gauche absente du second tour, quelles que soient les hypothèses. C'est le résultat du sondage Ifop-Fiducial pour Lyon Capitale et Sud Radio. François Hollande, au premier tour, serait au coude à coude avec Jean-Luc Mélenchon. Emmanuel Macron ne ferait guère mieux.

Si Geoffroy Didier n'a pas obtenu les parrainages nécessaires pour se présenter à la primaire des Républicains, il assure avoir "conquis [sa] liberté". Et regrette que ce soit "plus dur de se présenter à la primaire qu'à la présidentielle".

L'été n'a pas apaisé la défiance envers le couple exécutif. François Hollande reste stable, avec 18 % d'opinions positives, tandis que Manuel Valls gagne 2 points, à 29 %, mais reste très proche de son plus bas niveau de confiance.

Le maire de Bordeaux remporterait la primaire de la droite d'après un sondage Ifop-Fiducial pour Sud Radio, I-Télé et Paris Match, avec 54 % des suffrages au second tour. Mais son avance sur Nicolas Sarkozy s'est grandement réduite pendant l'été.

Nicolas Dupont-Aignan, président de Debout la France, député-maire de Yerres dans l'Essonne et candidat à l'élection présidentielle, a estimé qu'il n'y a "pas une démocratie au monde où un candidat, ancien président de la République, qui a triché avec ses comptes de campagne, oserait se représenter et même où la société tolèrerait qu'il se représente".

Droit de réponse. La Fondation Assistance aux Animaux nous a fait parvenir un droit de réponse suite à l'article publié sur notre site reprenant les observations et les critiques émises par la Cour des comptes. Un droit de réponse reproduit, ci-dessous, dans son intégralité.

Le procureur de la République, François Molins, a confirmé que le conducteur du camion qui a foncé sur la foule, jeudi soir à Nice, "était totalement inconnu des services de renseignement, tant au niveau national que local, et n'avait jamais fait l'objet de la moindre fiche au le moindre signalement de radicalisation".

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