Il préfère la voie du rassemblement. Plutôt que de s'engager dans une 4e campagne présidentielle, François Bayrou a annoncé ce mercredi qu'il proposait un rassemblement à Emmanuel Macron, tout en posant certaines exigences.
Un ralliement bénéfique pour le leader d'En Marche !, au coude à coude avec François Fillon dans les sondages d'intentions de vote, mais qui provoque la colère des responsables politiques de droite, certains évoquant une "trahison".
Olivier Dartigolle, porte-parole du PCF et élu municipal à Pau, dans l'opposition de François Bayrou, est invité de l'émission Débat d'Expert de 17h à 18h sur Sud Radio. Pour lui, "une page se tourne".
Comme en 2012, @bayrou réaffirme sa fidélité à @fhollande en s'alliant à son héritier légitime #Macron #DejaVu
— Eric Ciotti (@ECiotti) 22 février 2017
François #Bayrou rejoint #Macron, il vote #Hollande une seconde fois.
— Valérie Boyer ن (@valerieboyer13) 22 février 2017
Pas de vrai surprise ...comme en 2012, #Bayrou soutient le candidat de la Gauche relookée #Macron. Ça devient une habitude....
— Thierry MARIANI ن (@ThierryMARIANI) 22 février 2017
Bon bah voilà pour ceux qui en doutaient #Macron reçoit le soutien de #Bayrou allié hier du perdant #Juppe il est le candidat de la Droite
— Luc Carvounas (@luccarvounas) 22 février 2017
Pourquoi avoir écrit cela pour dire ensuite qu'il choisit Macron pour la moralisation de la vie politique.. C'est une vraie question en fait pic.twitter.com/zfrVlavH9g
— Cécile Duflot (@CecileDuflot) 22 février 2017
Pour la première fois dans l'histoire de la Ve République, les progressistes sont en mesure de se rassembler pour faire gagner la France.
— Gérard Collomb (@gerardcollomb) 22 février 2017
#Bayrou soutenait Hollande en 2012. Logiquement il soutient son ministre et héritier en 2017.
— Florian Philippot (@f_philippot) 22 février 2017
Le centre c'est comme le triangle des Bermudes macron et Bayrou s'y perdront
— Gerard Filoche (@gerardfiloche) 22 février 2017
Bayrou veut moraliser la vie publique avec le fric de Macron ca va pas le faire
— Gerard Filoche (@gerardfiloche) 22 février 2017