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Pour B. Retailleau, il faut "une coalition mondiale" contre Daesh

Par Jérémy Jeantet

Le sénateur Les Républicains de Vendée regrette "l'obsession anti-Bachar" de l'exécutif, ajoutant que ce n'est pas le président syrien "qui nous envoie des bombes ou des tueurs, c'est Daesh".

Invité de l'émission Territoires d'Infos sur Sud Radio et Public Sénat, Bruno Retailleau, président du groupe Les Républicains au Sénat, a expliqué que, pour lutter contre Daesh, qui représente "une menace mondiale", il faut "une coalition mondiale, internationale".Au moment où François Hollande rencontre de nombreux chefs d'Etat pour plaider la constitution de cette coalition, le sénateur de Vendée regrette "la politique minimaliste" de la France en Syrie et ses frappes "extrêmement ponctuelles".Pour "éradiquer Daesh", Bruno Retailleau a appelé, en plus d'une large coalition, à "une intervention au sol", mais aussi à "préparer le jour d'après", ajoutant que "la guerre est un moyen, pas une fin"."Ça a aussi été l'erreur française, cette obsession anti-Bachar, a poursuivi Bruno Retailleau. Bien sûr, personne ne croit qu'il peut représenter l'avenir de la Syrie, mais ce n'est pas Bachar qui nous envoie des bombes ou des tueurs en France. C'est Daesh, c'est l'Etat Islamique qu'il faut absolument éradiquer et on a trop tardé."Regardez l'interview de Bruno Retailleau, sénateur de Vendée, président du groupe Les Républicains au Sénat et tête de liste aux régionales dans les Pays de la Loire, invité de l'émission Territoires d'Infos sur Sud Radio et Public Sénat

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