Dimanche, une dame de 79 ans et son mari de 85 ans se promènent sur les quais de la Seine. Agressés par trois racailles, en fait deux regardent et l’autre jette l’homme à terre et le roue de coups de pieds sur la tête. Mais mamie-lame d’acier ne se laisse pas faire. Elle sort son canif porte-clefs et le plante dans le flanc de la petite ordure. Il la frappe encore mais tombe. N’écoutant que leur courage les deux autres détalent. Des témoins immobilisent l’agresseur et appellent les secours.
Aujourd’hui le vieux monsieur est encore hospitalisé sa femme très choquée. L’agresseur, blessé est placé en GAV à sa sortie de l’hôpital. Et ô surprise, Algérien de 29 ans en situation irrégulière, en état d’ivresse et déjà condamné pour cambriolages et violences. A eu le culot de prétendre porter plainte. Mais la femme a été reconnue en état de légitime défense. Et l’agresseur, jugé hier en comparution immédiate, condamné à trois ans fermes et incarcéré.
En quoi cette histoire est-elle significative ?
Elle ne l’est pas justement ! Souvent, ce genre d’affaire que l’on n’ose plus appeler faits divers se termine tristement avec une victime blessée et traumatisée et des agresseurs dans la nature. Très rare que les victimes se défendent et encore plus que des badauds interviennent.
Lâcheté immonde de trois jeunes gars qui s’en prennent à un couple d’octogénaires. Quand on entend ce genre d’histoires, on enrage, on a se sent impuissant. On se demande comment des êtres humains peuvent se comporter de la sorte. ON voudrait qu’ils aient honte.
Certes, il est probable qu’il ne fera pas trois ans et qu’il ne sera pas expulsé à sa sortie.
N’empêche, on a envie de serrer dans nos bras cette dame qui a osé sortir un micro-canif pour défendre son mari. Elle n’a pas seulement sauvé son mari mais notre honneur. On se dit que si les racailles trouvaient plus souvent à qui parler, notre pays irait mieux.
Bref, comme dans un western les gentils gagnent et les méchants sont punis. Alors pour une fois, ça fait du bien.