Reportage Sud Radio de Grâce Leplat
Sous cette tente de dépistage, Sandrine attend son tour pour se faire tester, car elle se trouve cas contact d'une personne qui a été déclarée positive aux tests. Elle n’a pas de symptômes, mais à l’approche des fêtes de Noël, elle préfère s’assurer qu’elle n’est pas malade:
"En famille, on a peut-être tendance des fois à laisser tomber le masque. Et comme on peut être asymptomatique, le but est de faire attention aux personnes qui pourraient déclencher une forme plus grave de la maladie"
Formalités administratives
Un peu de désinfectant, et Aurélien enchaîne : il fait une quarantaine de tests par jour comme Yasmine, qui se sent soulagée après son test négatif. Des cas comme Sandrine et Yasmine, Aurélien en voit de plus en plus à l’approche des fêtes:
"En ce moment c'est plutôt des gens qui, au moindre symptôme, se font tester tester pour écarter la possibilité d'être positif avant les fêtes. On a surtout beaucoup d'appels de gens qui prennent rendez-vous pour le début de semaine prochaine, pour se faire tester avant Noël" - Aurélien
Aurélien est confiant, ils pourront faire face à la demande. Le conseil scientifique lui, rappelle qu’un test négatif n’exclut pas une infection. Il préconise l’auto-confinement avant les fêtes.
"On a suffisamment de tests, on ne sera pas débordés d'un point de vue technique. C'est plus le côté administratif qui est chronophage s'il y a plus de gens. La semaine prochaine, les tests seront faits en série, et le rendu de résultats sur la plateforme, la déclaration des cas-contacts seront réalisés par une personne côté pharmacie, pour que la personne qui fait les tests à l'arrière ne fasse que ça, et puisse continuer à rendre les résultats en 15 ou 20 minutes aux gens..." - Aurélien