Christophe Barthélémy affirme, enthousiaste, que les salons ont réussi à s'organiser : "On est au maximum dix personnes dans le salon. On est très organisés". La particularité de Tchip coiffure étant que les clients ne prennent pas de rendez-vous, les coiffeurs de Tchip coiffure ont donc dû trouver un moyen pour s’adapter, en trouvant un compromis, face à la crise.
Grâce à un système de réservation journalière, les clients téléphonent ou se rendent au salon, on leur indique un temps d’attente en fonction de l'affluence, et ils reçoivent un sms de confirmation les invitant à venir au salon, vingt minutes avant leur prestation.
Cela permet ainsi d’éviter les files d’attente, et d’assurer la sécurité sanitaire des clients comme des salariés.
"Ce forfait d’hygiène est temporaire" - Christophe Barthélémy
Bonne nouvelle également, les salons Tchip coiffure ont dû recruter pour faire face à la crise, et honorer toutes les demandes. Cela pour répondre à l'affluence, tout en respectant les mesures sanitaires.
Il leur a fallu aussi augmenter légèrement les prix, de 2€ par prestation. Mais ce "forfait d’hygiène est temporaire", et devrait disparaître avec la crise. Enfin, quand bien même le doublement du chiffre d’affaires ne permettra pas nécessairement de rattraper les deux mois de perte endurés, Christophe Barthélémy est confiant et vous invite à venir vous refaire une beauté.
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