"On n’aurait pas pu faire plus en terme de préparation. Durant leur repos, ils ont beaucoup dormi. Ils ont gommé de la fatigue, mais il en reste surement encore. On va essayer de réimpulser la dynamique pour retrouver une qualité d’entrainement", a-t-il déclaré au micro de Sud Radio.Après un premier bloc de préparation où les Bleus faisaient 70% de physique et 30% de rugby, les Bleus vont pouvoir plus toucher le ballon durant le second bloc : "Le physique va être beaucoup intégré au travail de rugby. Il restera le travail de musculation en salle pour la force et la puissance. Mais tout ce qui pourra être rattaché au terrain le sera."
"Ce serait mentir de prévoir un pic de forme"
Selon Julien Deloire, plus que la préparation, ce sont les matchs de préparation qui seront un vrai entrainement : "On s’est fait un premier poumon en altitude, on va se faire le second durant les matchs de préparations parce que rien ne remplace un match de préparation."Concernant, le pic de forme des Bleus, le préparateur physique n’a pas voulu jouer aux voyants : "Ce serait mentir de prévoir un pic de forme. Notre objectif est d’attaquer la compétition dans nos meilleures dispositions collectives. L’idée est de pouvoir attaquer la compétition dans le meilleur état de forme".