Jacques Brunel, sélectionneur du XV de France : "On est toujours dans l'urgence donc il nous faut un peu de temps. pour construire un jeu et surtout une équipe. Cela va être sur de la simplicité, de la communication et les joueurs va falloir qu'ils s'investissent. Cela a toujours été comme ça en équipe de France et on va essayer de l'améliorer, peut-être que dans le temps, la collaboration avec les clubs sera beaucoup plus efficiente. C'est le deuxième volet. Pour le moment, le premier c'est de gagner".
"L'avantage, c'est que l'on se connait bien, on a confiance, c'est le climat fondamental d'avoir confiance en notre staff pour transmettre cette confiance à l'équipe. Les défaites ne favorisent pas ce climat donc on va essayer de redonner des ondes positives et de gagner surtout".
Jean-Baptiste Elissalde, entraîneur des trois-quarts : "La fierté de l'appartenance, c'est quelque chose de très important. Savoir où on est, avec qui on est et je pense qu'aujourd'hui représenter son pays, enfiler cette tunique comme celle de son club est tout aussi important. Donc il faut mettre cette fierté de l'appartenance, notre caractère, notre identité au service de l'équipe".
Julien Bonnaire, entraîneur de la touche : "Que l'on perde des matches, cela arrive à tous le monde, mais au moins quand on a tout donné pendant quatre vingt minutes, le résultat est ce qu'il est, mais on n'est pas loin du compte. C'est plus cet état d'esprit là qu'il faut retrouver. Porter le maillot de l'équipe de France, venir à Marcoussis, c'est un privilège et il faut qu'on retrouve cela qui s'était peut-être un peu perdu ces derniers temps".