"Quand j'ai quitté le Stade Français, on était dans une pleine période de doute. Le club s’est reconstruit autour de Thomas Savare. Il a d'abord renoué avec l'histoire du club en embauchant des historiques, puis il l'a marqué de son empreinte avec Gonzalo Quesada. C'est beaucoup d'émotions et de fierté de les voir en finale. Ils ont fait une énorme partie, ils ont mis à mal Toulon en les faisant déjouer. Ils nous ont donné beaucoup de plaisir. Je vois un 27-12 pour le Stade Français" a-t-il déclaré ua micro de sud Radio.Pour l'ancien joueur du club parisien, le Stade Français à ce petit truc en plus qui fait gagner les finales : "Dans la physionomie du match, ils se sont appuyés sur des points forts qui font aller jusqu'au bout : la conquête et la défense. On ne s'y attendait pas forcement. Mais dans les phases finales, il y a le rationnel et l'irrationnel. Et ils semblent imprenables. C’est un groupe d'écorchés vifs qui veulent remporter cette finale."Selon lui, si les parisiens en sont là, c'est aussi grâce à leur entraineur : "Quesada a une part importante dans la réussite du SF. Quand on voit son groupe, ce ne sont pas forcement les 15 meilleurs garçons. Mais ils ont cet état d'esprit et cette âme qui fait le charme du sport. De plus on sent que dans la ville quelque chose reprend. On voit des polos roses, des vitrines roses. Les Parisiens reviennent vers le Stade Français" a-t-il conclu.
Sylvain Marconnet : "Je vois un 27-12 pour le Stade Français"
Par Justin Boche
"Quand j'ai quitté le Stade Français, on était dans une pleine période de doute. Le club s’est reconstruit autour de Thomas Savare. Il a d'abord renoué avec l'histoire du club en embauchant des historiques, puis il l'a marqué de son empreinte avec Gonzalo Quesada. C'est beaucoup d'émotions et de fierté de les voir en finale. […]