"Depuis le passage de l'équipe de France en 2011 en Allemagne, il y a eu un vrai changement dans le football féminin. On était 65 000 licenciées en août, 88 000 en mai. Et on vise maintenant les 100 000, alors que ce n'est que le début avec la Coupe du monde 2019 en France. On arrive vers la professionnalisation d'ici 5 à 10 ans, mais pour le moment, certaines joueuses doivent travailler à côté", a-t-elle déclaré.Pourtant favorite de leur groupe, les Bleues doivent impérativement gagner leur match, ce soir, face au Mexique pour se qualifier au tour suivant : "Je n'ose même pas imaginer une défaite, pour moi ce n'est pas possible. J’espère que ce soir on ne va pas faire la différence. Pour moi, cette équipe, c'est une famille. Quand ça ne va pas, il faut s'engueuler un bon coup pour que ça reparte, et j’espère que c'est ce qui va se passer."La journaliste nous a aussi confié son favori pour la victoire finale. Surprise, ce n'est pas la France : "Pour le moment, c'est le Japon qui m'a le plus séduite. Je suis à fond pour la France, mais je vois bien le Japon champion".
A.David-Quinton : "Je n'ose même pas imaginer une défaite des Bleues"
Par Justin Boche
"Depuis le passage de l'équipe de France en 2011 en Allemagne, il y a eu un vrai changement dans le football féminin. On était 65 000 licenciées en août, 88 000 en mai. Et on vise maintenant les 100 000, alors que ce n'est que le début avec la Coupe du monde 2019 en France. […]