Mourad Boudjellal : "Je ne cautionne pas ce qu’il s’est passé, je vomis dessus. Mais le problème ne va se régler qu'à l’échelle mondiale. Tant qu’il y aura ce bordel sur la planète, avec des fanatiques pour endoctriner les gens, c’est sûr qu’on en aura [des attentats, ndlr]. Même si on attrape ces deux barbares, il y en aura d’autres."
Bernard Laporte : "On ne peut pas accepter ça. Ce n’est pas à d’autres de nous dire comment on doit vivre ou se comporter. Je ne les connaissais pas personnellement, mais je pense surtout à ceux qui restent, à leurs familles. Les voir partir de cette façon doit être écœurant et d’une tristesse folle."
Clément Poitrenaud : "Je ressens de l'effroi, de l'incompréhension et de la tristesse. On touche un des fondements de notre pays, à savoir la liberté d’expression. Au-delà de ce qu’il s’est passé mercredi, c’est une des valeurs fortes de notre pays qui est attaquée. Forcément, ça me torture un peu l’esprit et le ventre."
René Bouscatel : "C'est un sentiment d’infinie tristesse et de révolte. C’est un crime odieux, un acte de guerre contre des personnes. J’ai un grand sentiment de tristesse à l’égard des victimes et leurs familles. Mourir pour la liberté d’expression dans des conditions aussi dramatiques est d’une infinie tristesse."
Thierry Dusautoir : "Tout le monde est ému par ce qu'il s’est passé hier. Nous ne sommes pas en dehors de la société et c’est normal que le monde du sport respecte une minute de silence en hommage aux victimes."