Un homme de 23 ans et sa mère en garde à vue, ainsi qu’un autre homme de 23 ans ont été placés en garde à vue dans le cadre de l’enquête sur le meurtre de Louise, 11 ans.
Meurtre de Louise : Un suspect filmé par une caméra de circulation
En sus du témoignage d’une camarade de classe de Louise, déclarant l’avoir vue marcher à côté d’une jeune homme portant une doudoune noire, une caméra de circulation à proximité, filmant en permanence, aurait conservé l’image d’un suspect. Un élément clé de l’enquête sur ce meurtre.
"Cette caméra, c’est le lecteur automatisé de plaques d’immatriculation, le système LAPI, explique Axel Ronde, porte-parole CFTC Police. Cela nous permet d’avoir des images de la scène et de l’individu. Et aussi de faire tout un quadrillage avec les autres caméras sur zone. Le témoignage des personnes est primordial. Dans la vie d’un policier, un crime aussi terrible, c’est très marquant. Nous voulons vraiment interpeller ces individus."
Meurtre de Louise. Un homme de 23 ans et sa mère en garde à vue : "Il s'agirait d'une personne SDF qui traînait dans cette zone (...) Je ne comprends pas pourquoi certaines mairies refusent d'équiper les villes de caméras" déclare @AxelRonde #GrandMatinhttps://t.co/VUuXrGWou5 pic.twitter.com/eVLsieNAcY
— Sud Radio (@SudRadio) February 11, 2025
Vers des caméras avec intelligence artificielle
Trois suspects ont été placés à garde à vue. "Il faut être très prudent par rapport à tout ce qui sort. C’est le fruit du travail des enquêteurs, je ne peux pas donner tous les éléments." Un homme de 23 ans, errant, puis sa mère, ont été interpellés. "Elle habite vers Rouen et cet individu traînait dans le bois où la petite Louise a été retrouvée. L’ensemble des personnes repérées vont être auditionnées. Ces caméras sont très utiles pour faire éclater la vérité. Je ne comprends pas que certaines communes refusent de s’en équiper."
"Nous espérons que les caméras avec intelligence artificielle pour être plus réactifs seront autorisées dans notre pays. Une expérience s’achève le 31 mars dans notre pays, mais certaines personnes estiment que cela va à l’encontre des libertés publiques. Cela permet de donner des informations en temps réel sur de telles zones afin d’envoyer des équipes de police."
Retrouvez "Sud Radio vous explique" chaque jour à 7h40 dans le Grand Matin Sud Radio avec Jean-Jacques Bourdin
Cliquez ici pour écouter “Sud Radio vous explique”Toutes les fréquences de Sud Radio sont ici !