Marie-Estelle Dupont, psychologue clinicienne, était l'invitée d’André Bercoff sur Sud Radio le mercredi 11 octobre 2023 dans "Bercoff dans tous ses états".
archive.php
masques
Quelques mois après les grands appels à la relocalisation, la production de masques en France est littéralement en berne.
Un an après son instauration, le port du masque dans les transports en commun va être levé. Une décision médicale ou politique ?
À quand la fin du port du masque en extérieur ? Cet été, si les conditions le permettent, le ministre de la Santé, l'espère "sincèrement" mais lorsque suffisamment de Français auront été vaccinés, a expliqué Olivier Véran. Les spécialistes, eux, se divisent sur son utilité en extérieur. Au bout d’un an, beaucoup aimeraient le voir disparaître.
Même si certaines villes résistent au tout-sanitaire du masque en extérieur, sans nuance d'horaire ni de zone, de nombreuses municipalités ont décidé de ne prendre aucun risque. Mais les Français en ont assez, à l'image de ces Parisiens au micro de Clément Bargain. Un avocat promet de faire pression sur les préfets pour justifier de telles décisions.
Ce mardi 1er septembre est un jour de rentrée mais surtout de masques obligatoires dans les écoles et les entreprises. Cela peut se tenir d'un point de vue scientifique mais qu'est-ce qui justifie le port du masque obligatoire en extérieur ? Rien si ce n'est l'infantilisation des Français par un gouvernement qui se protège pénalement.
C’est le grand jour : la France entre dans une nouvelle phase décisive, celle du déconfinement. Pour que leurs administrés affrontent travail, écoles ou encore transports, les maires se donnent bec et ongles pour distribuer des masques. Avec des méthodes bien différentes et, parfois, quelques déconvenues.
19 jours, c’est le temps qu’il reste aux mairies pour s'approvisionner en masques avant le fameux "11 mai". Ces dernières sont chargées par le gouvernement d'en distribuer à la population pour le déconfinement. Seulement, les maires se retrouvent esseulés et naviguent à vue. En attendant un geste du sommet de l'Etat.
En plus de manquer cruellement de masques, le personnel soignant est aussi confronté au manque de blouses, pardessus indispensables pour se protéger du virus. Les commandes de l’État tardent à venir, la production des couturières n’est pas suffisante, alors le monde industriel français répond – encore – présent pour l’effort national, à l’image du groupe Sphère.
au direct